Afrique: Un ambassadeur se réunit avec le Groupe de lutte contre le blanchiment d'argent pour l'Afrique australe et orientale

Luanda — L'ambassadeur d'Angola en Afrique du Sud, Rui Xavier, a rencontré lundi les membres du Groupe de lutte contre le blanchiment d'argent pour l'Afrique australe et orientale (ESAAMLG).

La délégation, qui a participé au Botswana au 23e Conseil des ministres et à la 46e réunion de travail des hauts fonctionnaires du Groupe de lutte contre le blanchiment d'argent de l'Afrique orientale et australe, est conduite par le directeur général de l'Unité d'information financière (UIF), Gilberto Moisés Moma Capeça.

Au cours de la rencontre, selon une note envoyée à l'Angop, Gilberto Moisés Moma Capeça a donné un bref résumé de la participation de l'Angola aux réunions susmentionnées, ainsi que des efforts entrepris par le gouvernement angolais pour se conformer aux recommandations du Groupe d'action financière internationale (GAFI), pour éviter l'entrée du pays sur la liste grise de cette institution.

L'ESAAMLG est un groupe de pays d'Afrique australe et orientale, créé pour suivre les progrès des pays en matière de conformité et de mise en oeuvre des recommandations du GAFI dans leurs juridictions, concernant la prévention et la lutte contre le blanchiment d'argent et le financement du terrorisme.

Le groupe est composé de 17 pays, notamment l'Angola, le Botswana, l'Éthiopie, l'Afrique du Sud, la Namibie, la Tanzanie, le Rwanda, les Seychelles, le Swaziland, le Kenya, la Zambie, l'Ouganda, le Mozambique, le Malawi, le Lesotho, Maurice et le Zimbabwe. Machine virtuelle

AllAfrica publie environ 400 articles par jour provenant de plus de 100 organes de presse et plus de 500 autres institutions et particuliers, représentant une diversité de positions sur tous les sujets. Nous publions aussi bien les informations et opinions de l'opposition que celles du gouvernement et leurs porte-paroles. Les pourvoyeurs d'informations, identifiés sur chaque article, gardent l'entière responsabilité éditoriale de leur production. En effet AllAfrica n'a pas le droit de modifier ou de corriger leurs contenus.

Les articles et documents identifiant AllAfrica comme source sont produits ou commandés par AllAfrica. Pour tous vos commentaires ou questions, contactez-nous ici.