« Sambasamba » ! Mad Max montera sur les planches de l'hôtel Le Glacier Analakely. Demain, le jeune homme fera ses preuves auprès des noctambules de l'antre de la mozika mafana. S'il s'est fait une notoriété depuis plusieurs années, c'est ce soir que lui et son équipe au grand complet braveront ce passage obligé de tout metteur d'ambiance qui se respecte.
Mixant plusieurs genres et plusieurs styles, il s'offre un large éventail musical sans sortir pour autant de la musique urbaine, sa musique de prédilection. Du reggae, du rap, de l'afrobeat, du dancehall, un peu de rnb pour chanter l'amour, il y a de la matière pour faire des tubes comme « Malalako », « Nitiligny », « Love nivadika money ».
Parmi les étoiles montantes d'il y a cinq ans, Mad Max fait partie de ceux qui connaissent une montée fulgurante dans le milieu du showbusiness. Chef de bande, comme on le surnomme, il a une technique vocale exceptionnelle. La plupart de ses chansons parlent de la réalité qui se passe dans son quartier. Prêcheur de «peace and love», il condamne la violence.
Mis à part ses succès de débutant à l'instar de « Tsofoko rano » et « Izy tsy paré », sa musique évolue en temps et en heure pour prendre plus de couleurs et lui permettre d'imposer sa voix sur les « Angelina » et « Marina ». Par ailleurs, sa collaboration avec Big Mj sur « Mamzel » est devenu un tube, en deux temps trois mouvements et l'a propulsé au rang de vraie star au même titre que Gaei, Lion Hill, Ceasar ou encore Rim-Ka et Ljo.