Candidat à la présidentielle de 2018, Radjabho Tebabho Soborabo revient une fois de plus en 2023 avec l'espoir de briguer la magistrature suprême de la République démocratique du Congo. La Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI) a réceptionné ce jeudi 14 septembre 2023, le dossier de candidature du candidat RADJABHO TEBABHO SOBORABO, président du parti politique "Congolais unis pour le changement" (CUC) via son mandataire, Simon ESAMBO, reçu au Bureau de Réception et Traitement des candidatures (BRTC), au siège de la Centrale Électorale sur Boulevard du 30 juin.
Il s'inscrit dans l'optique du changement afin d'apporter sa part à la consolidation de l'unité entre les Congolais, avec en prime la paix sur le territoire national afin que tous puissent bénéficier des ressources dont regorge le pays.
La réception du dossier du prétendant à la prochaine Présidentielle a été ajournée puis validée le lendemain de sa déposition pour compléter la pièce manquante : l'original du document attestant de sa nationalité congolaise.
Après avoir rempli toutes les exigences administratives en conformité avec la loi, le mandataire du candidat président Radjabho Tebabho Soborabo a dévoilé son ambition politique. Ainsi que les motivations ayant prévalu à sa détermination à briguer une fois de plus la magistrature suprême, comme il l'avait fait au scrutin présidentiel précédent où il s'en est tiré en quatrième position.
«Il a été candidat président en 2018, il revient encore en 2023 pour déposer sa candidature. Empêché, car se trouvant à l'extérieur du pays, nous avons déposé sa candidature en bonne et due forme. Nous avons l'accusé de réception de la CENI, nous avons rempli toutes les exigences de la loi, nous allons revenir le lendemain pour vérifier la conformité du dossier », a-t-il indiqué.
Pasteur et homme d'affaires Radjabho Tebabho Soborabo s'inscrit dans l'optique du changement afin d'apporter sa part à la consolidation de l'unité entre les Congolais, avec en prime la paix sur le territoire national afin que tous puissent bénéficier des ressources dont regorge le pays.
Le CUC, aux dires de son mandataire, n'est ni de l'opposition ni de la majorité ayant aligné des candidats aux législatives et provinciales, faisant partie de 10 formations politiques qui ont atteint le seuil de recevabilité.