Le Festival international d'histoire d'Aného (FIHA) aura lieu du 23 au 26 novembre.
Pendant trois jours, il servira de tribune aux historiens, géographes, journalistes, écrivains, chercheurs, philosophes, artistes, gastronomes et intellectuels qui s'intéressent aux sociétés humaines et à leurs longues histoires.
Avec un ensemble de conférences, ateliers et table-rondes, Aného en bénéficiera pour revisiter les enjeux sur les diversités, en termes de défis.
Le FIHA proposera des expositions, des spectacles, des concerts et naturellement le Grand concours artistique, une vitrine exceptionnelle pour des créateurs dans leur domaine respectif.
Enfin, le FIHA sera un lieu de découverte, d'apprentissage, de divertissement et d'échanges multiformes et invitera les visiteurs à découvrir la ville sous un nouveau jour.
La Fondation Aquereburu & Partners, est la structure qui organise cet évènement.
Le Brésil est cette année l'invité d'honneur.
Mais également la Martinique.
La collectivité territoriale française est une île de carte postale, véritable ensorceleuse, qui sait amadouer le visiteur grâce à ses plages de sable blond pour mieux le séduire ensuite avec ses richesses intérieures.
En Martinique, il y a certes le ciel, le soleil et la mer, mais aussi des champs de canne à sucre, des chemins forestiers hors du temps, des villages du bout du monde, des jardins fantastiques qui font oublier l'avancée du béton.
Aného (45 km de Lomé), longtemps connue sous le nom de Petit-Popo, fut à deux reprises la capitale du Togo (de 1886 à 1897 puis de 1914 à 1919). Elle se trouve à la frontière avec le Bénin.