Les Nations unies vont expulser de la République démocratique du Congo des soldats de la paix soupçonnés de viols, selon la rédaction en français de la chaîne chinoise, Cgtn qui s'en est fait écho le 14 octobre 2023 sur sa page X (Twitter).
Cette décision qui semble être une réponse à la pression subie par la mission de l'Onu ne satisfait pas forcément tous les Congolais. Érick Amisi (@Eric Amisi1) fait partie de ceux-là. « Nous ne voulons ni de ces soldats, ni de ces nations unies. Qu'ils dégagent tous! », a-t-il posté sur sa page X (Twitter).
En prélude au départ progressif et accéléré de la Monusco, un comité de travail avec les forces congolaises et régionales vient d'être mis en place. « Objectif: s'assurer du transfert des compétences pour la pérennisation des acquis de la Mission en matière de protection des civils », précise le Gal Mody Berethe, chef de la composante police de la Monusco sur le compte X (Twitter) de la mission onusienne en RD Congo.
Les détracteurs de la Monusco ne ratent aucune occasion de rappeler les actes de viol et autres accusations sexuelles contre ses agents. En réponse au post, Litho Gilbert (@GilbertG76014) écrit : « Faites vite pour partir, mais avec vos enfants ». Foret Didier Ntita(@fortdidierntit) est également de cet avis. « Merci de nous quitter avant la fin de cet année », écrit-il.