Le greffe de la Cour constitutionnelle a été saisi le 20 octobre d'une requête en invalidation de la candidature de Moïse Katumbi, président du parti politique Ensemble pour la République.
L'auteur de cette requête, Junior Tshivuadi, formule plusieurs griefs pour justifier l'objet de sa requête notamment le problème de nationalité du candidat à l'élection présidentielle, l'usage de faux, l'affaire de SMIG en rapport avec les salaires des travailleurs de Moïse Katymbi dans sa société au Katanga. A
cet effet, il demande à la Cour d'invalider la candidature de ce dernier à l'élection présidentielle de décembre 2023.
Cette requête intervient juste après que la Commission électorale nationale indépendante (CENI) a publié la liste provisoire des vingt-quatre candidats à l'élection présidentielle.
En attendant la réponse du Parquet général près la Cour concernant principalement l'envoi en fixation pour faire la lumière sur cette affaire, Me Hervé Diakesse, porte-parole d'Ensemble pour la République de Moise Katumbi a rejeté toutes ces allégations: