Ramallah / Palestine — Le ministère des Affaires étrangères et des Expatriés a confirmé qu'il est clair que l'échec international à mettre fin à la guerre et à mettre en oeuvre le droit international et le droit international humanitaire conduit à davantage d'échecs non seulement pour arrêter la guerre, mais aussi dans la protection des civils et leur fourniture d'eau.
Le ministère a indiqué que cela signifie que l'incapacité internationale continue à arrêter la guerre jusqu'à présent permet à l'entité sioniste d'ignorer complètement la communauté internationale, de détruire le fondements juridiques de l'ordre mondial et les remplacer par la loi de la jungle.
Le ministère a condamné dans les termes les plus fermes, dans un communiqué publié aujourd'hui vendredi, la poursuite de la guerre d'occupation ouverte et destructrice contre notre peuple dans la bande de Gaza pour le 28ème jour consécutif, qui laisse à chaque instant plus de destructions, de martyrs, de blessés, et déplacés, et menace désormais sérieusement de mettre un terme à tous les aspects de la vie humaine dans la bande de Gaza, y compris les hôpitaux et tous les types de travaux de secours à tous les niveaux, dans une guerre génocidaire sans précédent.
Le ministère a également fermement condamné les attaques et les crimes des milices colonialistes et des forces d'occupation en Cisjordanie occupée, y compris à El qods -Est, qui ont conduit, depuis l'aube d'aujourd'hui, au meurtre de 10 citoyens palestiniens et à de no nombreux blessés, dénonçant aussi l'escalade des actes du vandalisme des colonialistes et du terrorisme contre les citoyens palestiniens, leurs terres, leurs propriétés, leurs maisons et leurs lieux saints, et le piratage de l'argent du peuple palestinien sous de faux prétextes.
Il a demandé aux pays du monde de faire pression sur l'entité sioniste pour mettre fin à la guerre, garantir l'acheminement des besoins fondamentaux de notre peuple dans la bande de Gaza de manière durable, mettre fin à toutes les formes de déplacement et ramener les citoyens dans leurs zones de résidence.