Des joyaux monuments ancestraux, la grande muraille de Chine ainsi que d'autres sites de Pékin et de la province de Ningxia, dans la ville de Jinchuan, ont émerveillé des commentateurs connus ou chroniqueurs des médias principaux des pays francophones africains, en séjour en Chine.
Des visites guidées effectuées le 29 octobre et le 6 novembre à Beijing, puis, du 2 au 4 novembre dans la province de Ningxia ont permis aux hommes et aux femmes des médias des pays d'Afrique francophones de découvrir le savoir-faire et le charme de la culture chinoise.
Le musée du film chinois, le temple du ciel, la grande muraille de Chine sont des sites incontournables ouverts au grand public qui font la fierté de la ville de Pékin et offrent aux visiteurs une belle vue panoramique extraordinaire. A Beijing, la délégation a été étonnée de voir ces lieux touristiques toujours attrayants dans leur quasi-totalité malgré des années qui passent, bien propres, entretenus et en bon état en dépit de leur ancienneté. Ils ne laissent personne indifférente.
Dans les jardins du temple du ciel chinois, les principaux arbres plantés sont les sapins. La durée pour certains est de 400 ans et pour d'autres 500 ans. Le plus ancien a 620 ans. Au milieu de la cour de ce site, il y a une pierre érigée par l'empereur Yongle pour faire des sacrifices et des prières de bienveillance et de l'unification de la Nation. C'est un site où les visiteurs s'y rendent et font autant.
Quant au musée du film chinois, il est composé d'une vingtaine de salles dont chacune contient des objets ancestraux spécifiques qui relatent l'historique du parcours du cinéma chinois, entre autres, les premières machines à être utilisées pour la réalisation d'un film. Sur les murs, des grandes figures de cinéastes, de réalisateurs et de pionniers de cet art sont exposées selon leurs époques et les rôles joués.
La grande muraille de Chine, un lieu attractif qui incite et fait rêver beaucoup des gens qui veulent le toucher du doigt. Seuls les persévérants et les initiés arrivent à atteindre au moins un niveau élevé. « C'est un sentiment de joie de pouvoir escalader cette muraille que nous avons tant regarder à la télévision, Ce n'est pas intéressant pour ceux qui viennent en Chine, surtout à Beijing, de repartir sans visiter la muraille. C'est une belle aventure, personne n'a parcouru les 21000 kilomètres. Nous nous sommes arrêtés au quatrième niveau », a signifié l'un des visiteurs
Des visites prolongées à Ningxia, zone industrielle
Au total, douze visites guidées ont été organisées dans la province de Ningxia, une zone industrielle, touristique et historique, entourée par des lacs. Ces découvertes de trois jours ont permis d'appréhender l'existence ancestrale des collections installées dans ces musées qui existent depuis 2000 ans avant Jésus-Christ et d'admirer l'architecturale de Ningxia. Celles-ci présentent la quintessence de la culture aussi bien traditionnelle que moderne de cette contrée. La plupart de ces musées sont inscrits sur la liste du patrimoine immatériel de l'Unesco.
La délégation a également visité la plateforme technologique des médias intégrés « Yellow River Cloud », Ningxia télévision, qui est une application de promotion culturelle, de contrôle d'intégration via l'analyse d'adaptation des programmes de plus de 20 000 télévisions chinoises. Cette plateforme permet aux abonnés de payer des services en ligne dont ils ont besoin.
Puis, elle s'est rendue au journal le quotidien de Ningxia, un groupe de presse créé en novembre 1949 par le Parti communiste chinois. Cet organe de presse a pour politique de promouvoir le développement du pays. Les professionnels des médias ont touché du doigt des châteaux, des entreprises vinicoles et ont appris les étapes de dégustation du vin.
Ils ont aussi visité les bases de préservation du patrimoine culturel de la pierre à l'encre ; le centre de découpage de papier ; les industries de lithium ; de charbonnière ; le parc industriel agricole de la culture sous serre, une agriculture hors sol. La principale culture pratiquée est la tomate.
Durant ces visites fascinantes et malgré l'épuisement et l'essoufflement qui se faisaient lire sur les visages des journalistes, chacun avait l'envie de vivre cette expérience car, le périple était très intéressant.
