Amnesty International s'est félicitée vendredi de la récente décision du président Faure Gnassingbé de gracier 1000 prisonniers.
'Cette décision est très importante parce qu'elle permet de désengorger les prisons et améliore ainsi les conditions de détention', a déclaré vendredi Aimé Adi, directeur de Amnesty au Togo.
Pour l'organisation, historiquement très hostile au Togo, cette mesure s'inscrit dans la promotion des droits de l'homme.
Lees graciés ne sont ni des terroristes, ni des assassins, ni des violeurs.