Le 29 décembre dernier, Amnesty s'est fendue d'un communiqué de presse où l'ONG attire l'attention de l'État guinéen sur ses manquements concernant les droits humains.
Abdoul Aziz Diallo directeur exécutif d'Amnesty Guinée a précisé qu'il y a assez longtemps qu'on ne fait pas de rapport sur la Guinée et que c'est un communiqué de presse qui a été produit et que la visée est d'attirer l'état sur ses manquements qui entachent les droits humains.
D'ailleurs, sous l'Alpha gouvernance et lors des élections de 2020 concernant le coup d'État constitutionnel, les restrictions de l'accès y l'internet avaient été suivies de plaintes contre l'État guinéen au niveau de la cour de justice de la CEDEAO et l'État guinéen a été condamné.
Pour ce qu'il est du brouillage des signaux TV et Radio et du retrait de certains médias du bouquet Canal, l'activiste des droits humains a pris acte de la décision de la HAC qui parlait de raisons de sécurité nationales "mais sans en préciser les contours..." regrette le directeur exécutif d'Amnesty Guinée qui parle d'une situation compliquée mais que l'état doit considérer pour rectifier le tir de ses méprises et exagérations.