La Commission électorale nationale indépendante (CENI) a dénoncé, samedi 23 décembre, les actes de violence, de vandalisme et de sabotage perpétrés par certains candidats « mal intentionnés » à l'endroit de son personnel, de son matériel et de son patrimoine lors du déroulement des scrutins combinés du 20 décembre.
Dans son communiqué publié samedi, la CENI, tout en condamnant ces actes, rappelle que ces faits sont repréhensibles par la loi et contraires aux bonnes pratiques électorales.
La centrale électorale a souligné que « face à tous ces actes d'une extrême gravité », elle entend rassurer l'opinion publique de sa ferme détermination à ne pas laisser impunis ces forfaits.
Ainsi, elle a mis en place une commission d'enquête afin de procéder aux investigations nécessaires en rapport avec ces actes de violence.
La CENI promet que des mesures appropriées seront prises à l'encontre de ses agents et/ou des candidats qui se seraient rendus coupables ou complices de ces actes.