Du District d’Abidjan qui abrite deux stades qui vont accueillir deux poules pour les compétitions, en passant par Bouaké, Yamoussoukro, San Pedro et Korhogo, la fièvre monte. La fièvre de la compétition des phases finales de la 34è édition de la Coupe d’Afrique des nations de football, est en train de monter. Le dispositif de sécurité mis en place, continue d’être corsé.
Les éléments commis pour la sécurisation de la fête du football africain commencent à être de plus en plus intransigeants, envers les usagers et les vendeurs à la crié avec leurs vuvuzelas, dans le respect des plans de sécurité mis en place pour les autorités ivoiriennes.
Officiellement, selon des sources sécuritaires, plus de 20 mille hommes ont été déployés sur toute l’étendue du territoire national. Principalement dans les villes hôtes de la Can 2023. Au niveau de l’aéroport international d’Abidjan- Port Bouet, ceux de San Pedro, Yamoussoukro, Bouaké et Korhogo, les avions continuent d’atterrir soit avec des officiels soit avec les teams nationales.
En tout cas, les 24 en plus des éléphants sont dans leurs Qg respectifs. A ce niveau, la commission pilotée par le ministère des transports est à la tâche.
Dans cette ambiance de fête, malheureusement, mille , deux mille voire trois mille commerçants, mécaniciens et débrouillards installés sur les principales artères n’ont pas vraiment le cœur à la fête. Leurs magasins de fortune ont été démolis par les brigades de salubrité. Pas question pour eux de se réinstaller maintenant et avant la fin de la fête du football africain. Bref, pour cette catégorie d’acteurs économiques, la fête s’arrête là pour eux les larmes aux yeux ! Et pourtant, après la compétition, ils reviendront s’installer là et les mairies comme d’ordinaire, viendront encaisser droits et taxes. Que le meilleur gagne !