Dans son rapport sur l'exercice 2023 publié le 14 janvier 2024 sur sa page X (Twitter), Human Rights Watch accuse les forces de sécurité anglaises d'être « impliquées dans de graves violations des droits humains, notamment plus d'une douzaine d'exécutions extrajudiciaires et d'autres homicides illégaux, un recours excessif à la force contre des manifestants pacifiques et des détentions arbitraires ». Selon Fratmat.info, le rapport charge également les autorités pour avoir « continué à expulser de force des personnes et à procéder à des démolitions sans les garanties procédurales nécessaires, ni la fourniture d'un autre logement adéquat ni d'une indemnisation adéquate pour les personnes expulsées.
Aussi, ajoute la source, « la presse a été attaquée à plusieurs reprises tout au long de l'année, les autorités continuant d'utiliser des lois draconiennes sur les médias pour réprimer et harceler les journalistes ». Human Rights Watch ajoute que la liberté d'association était sous pression alors que le gouvernement tentait de faire adopter une nouvelle loi sur les organisations non gouvernementales (ONG) limitant les activités des groupes de la société civile.
Quant aux femmes et aux filles, en particulier les marchandes ambulantes et les migrantes, elles ont continué de subir des exactions de la part des forces de sécurité, selon l'organisme international des droits humains.
Dans un article paru le 7 août 2023 dans Libération, l'on a pu lire : « Dans un contexte de forte contestation sociale, l'Ong Human Rights Watch a recensé quinze exécutions d'opposants au président João Lourenço, et pointe des centaines d'arrestations arbitraires ».