La proposition du CAR (opposition) de repousser tous les scrutins à 2025 n'a pas suscité une enthousiasme débardant au sein de la classe politique.
Nicolas Agbo, le vice-président de cette formation, regrette les propos désobligeants de certains responsables.
'Nos propositions sont concrètes. Mais comme de coutume, le CAR est encore une fois accusé de manquer de sérieux', a-t-il déclaré lundi.
Outre un report des législatives à 2025, le CAR souhaite également un redécoupage électoral pour passer à 117 députés.
Une idée rejetée par la plupart des partis de l'opposition.