Un redécoupage électoral, avec 117 députés au lieu de 91 aujourd'hui, est en discussion. Des pistes en ce sens sont évoquées, mais rien de concret pour le moment.
La réponse sera connue rapidement puisque les législatives doivent avoir lieu à la fin du premier trimestre 2024.
D'ores et déjà, Paul Dodji Apévon, le chef des Forces démocratiques de la République (FDR, opposition), se dit totalement hostile à ce projet.
'C'est stupide. Nous sommes en train de lutter contre le mauvais découpage, on ne va donc pas le renforcer en faisant de chaque commune une circonscription. C'est absurde', a-t-il déclaré lundi au micro d'une radio privée.
L'idée émise par certains opposants de repousser les élections à 2025 est considérée comme 'une pure connerie', estime M. Apévon.
Son parti ira aux législatives cette année à condition d'en connaître les modalités. A deux mois du terme fixé pour leur tenue, le plus grand brouillard persiste, déplore le président des FDR.