Congo-Kinshasa: Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo - L'Oiseau Rare Retrouvé en République Démocratique du Congo

Prof. Bruno-Joseph Tshibangu Kabaji

En date du 30 juin 1960, la République Démocratique du Congo accéda à la Souveraineté Nationale et Internationale. S.E.M. Joseph Kasa-Vubu fut élu Président de la République par le Parlement en majorité lumumbiste et P.E Lumumba lui-même élu Premier Ministre. Au cours de son mandat de cinq ans, il priorisa l'éducation et la moralisation de la vie politique comme domaines-clés pour le décollage développemental de son pays. Malgré les conditions dans lesquelles il quitta le Pouvoir 5 ans après, il laissa le Congo en voie de développement et légua au Peuple congolais le sens de moralité et d'éthique professionnelle.

Il eut lui-même le mérite d'avoir été le modèle de la Bonne gouvernance dans son pays. Par la volonté américano-belge, Mobutu prit le Pouvoir par un coup d'Etat militaire opéré le 24 novembre 1965 parce que les Belges et les Américains ne voulaient pas du décollage développemental du Géant au coeur de l'Afrique tel qu'impulsé par le tout premier Président de la RD Congo. Il s'y installa par la force pendant 32 ans ; et ce, en dépit de la lutte non-violente menée contre son régime avilissant et deshumanisant par Feu Dr Etienne Tshisekedi wa Mulumba, Président National de l'UDPS, devenu plus tard l'incarnation de l'opposition politique en RD Congo.

Après son règne catastrophique, l'homme fort n'a pu léguer aux Congolais qu'un Congo systématiquement dépravé, perverti et corrompu, pillé économiquement et financièrement saigné à blanc et par lui-même et par ses ouailles ; infiltré progressivement par les Rwandais au travers les subterfuges de Charles Bisengimana Rwena, son Tout-Puissant Directeur de Cabinet, avec la complicité manifeste de grandes puissances occidentales. Il eut fallu que L.D. Kabila, un vieil opposant armé au régime de Mobutu, soit, cette fois-ci, armé par les Américains, via la coalition rwando-ougando-burundaise, pour que ce tyran soit chassé du Pouvoir après avoir été émoussé par l'UDPS. Le 17 mai 1997, Laurent Désiré Kabila s'accapara du Pouvoir par la Force et s'autoproclama Président de la République Démocratique du Congo, à partir de Lubumbashi. Pendant son règne, il s'opposa farouchement à l'infiltration des Rwandais dans tous les secteurs-clés de la vie nationale notamment dans les Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC), la Police Nationale Congolaise (PNC), le Service de Renseignements, dans l'administration publique et dans l'exploitation des ressources naturelles de la RD Congo.

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En plus de cette stratégie salutaire aux relents nationalistes, Laurent Désiré Kabila refusa toute aide financière lui proposée par les Institutions de Bretton Woods et par les Grandes puissances occidentales, en l'occurrence, les Etats-Unis d'Amérique. Par ses prises de position proches de celles de P.E. Lumumba, il apparut aux yeux des Américains comme un élément très dangereux pour la continuité de l'Idéologie capitaliste en RD Congo. Sentant sa mort s'approcher suite aux menaces lui proférées par les Américains, il commença à inculquer aux Congolais les valeurs patriotiques et nationalistes et leur demandant de ne jamais trahir le Congo.

De suite de ces discours anti-impérialistes, et avec la trahison de certains Congolo-américains, naïfs et étourdis, Mzee L.D. Kabila fut assassiné le 16 janvier 2001. Pendant son court règne, il légua aux Congolais l'amour de leur patrie, l'esprit nationaliste et la prise en charge de leur destin chaque fois que la Nation congolaise est attaquée ou menacée par les ennemis tant internes qu'externes de celle-ci. Le malheur de la RD Congo ne tarit toujours pas du tout. Les Occidentaux, en connivence avec les Congolais naïfs, cupides d'argent et avides du Pouvoir, précipitèrent au sommet d'un si vaste pays au coeur de l'Afrique, un certain Joseph Kabila Kabange1 pour succéder à L.D. Kabila.

Pendant 18 ans de règne sans partage, et contrairement à la Gouvernance de Laurent Désiré Kabila posée essentiellement sur la défense de la patrie, Joseph Kabila fit de la RD Congo une énième "province" du Rwanda dont lui-même ne jouait que le rôle figurant de Chef de l'Etat. C'est lors de ce règne que les infiltrations à haute échelle furent tranquillement planifiées et enregistrées en masse dans les rangs des FARDC, de la PNC et de Service de renseignement ainsi que dans le secteur d'administration, en vue de permettre à Paul Kagame d'accomplir son dessein macabre dans notre pays pour assouvir la soif de ses parrains occidentaux.

C'est donc par ce stratagème diabolique mis en oeuvre par les Rwandophones au Pouvoir en RD Congo que l'infiltration eut ainsi rapidement lieu. La plupart des Congolais naïfs, écervelés, cupides et avides d'argent, croyaient jusqu'à présent d'ailleurs que Joseph Kabila gagnait la guerre quand bien même nous savions qu'il n'avait plus d'Armée, alors que se sentant satisfait du rôle que jouait pleinement son "Gouverneur de province", Paul Kagame n'avait plus de raison d'attaquer la RD Congo parce qu'il était pleinement satisfait du rôle joué par son homme-à-tout-faire en RD Congo.

A la fin de ce Régime de misère, Joseph Kabila n'a rien légué aux Congolais qu'une Armée, une Police et un Service de Renseignement extrêmement affadis, une administration tordue ; le règne des antivaleurs contribuant ainsi efficacement à la dépravation des moeurs, à la destruction profonde des tissus économiques et sans oublier le renforcement d'un Etat sauvage et régressif, un Etat sauve-qui-peut, en RD Congo.

Il eut fallu que la lutte politique menée par l'UDPS/Tshisekedi et le RASSOP ainsi que par la pression de la Communauté Internationale, pour que la volonté de Joseph Kabila de briguer illégalement un troisième mandat s'affaisse et que les négociations s'organisent autour de la CENCO et aboutissent tout de même aux Accords dits de CENCO.

C'est ainsi qu'au mois de décembre 2018, Joseph Kabila édulcoré organise les élections que Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo gagnera haut la main, et deviendra le 5e Président de la République Démocratique du Congo.

Ainsi donc, après ce récit analytique et pathétique, il ressort que les régimes passés n'ont pas pu saisir la portée de la problématique essentielle de la RD Congo par rapport à elle-même et par rapport à sa position géostratégique en Afrique et dans le Monde.

Cette problématique se traduit notamment dans la recherche de sa place naturelle dans le concert des Nations comme pays détonateur d'un développement durable non seulement pour lui-même, mais aussi pour l'Afrique tout entière. Cela grâce à ses ressources naturelles et stratégiques qui manquaient un Homme providentiel, un Oiseau Rare pour leur bonne gestion, leur protection et leur utilisation judicieuse dans l'intérêt supérieur de la Nation. Grâce à la providence divine, cet Homme politique est là, il existe.

N'avait-il pas raison, ce penseur algérien Frantz Fanon, lorsqu'il disait que " l'Afrique a la forme d'un revolver dont la gâchette se trouve au Congo". Ce qui reviendrait à dire que c'est à partir de ce Grand pays que toute l'Afrique devrait connaître son développement durable si jamais les dirigeants politiques de leurs pays respectifs évitaient la manipulation occidentale et veillaient à sauvegarder l'harmonie entre eux.

Il faudrait ici comprendre qu'il fallait que la RD Congo ait un besoin ardent d'un Homme exceptionnel capable de comprendre et de bien interpréter l'expression métaphorique de Fanon qui voudrait simplement dire que le développement durable de l'Afrique ne décollerait qu'au moment où la RD Congo atteindrait sa prospérité et que son Peuple sa maturité politique pour bien la gérer.

Et qu'appuyer sur la gâchette signifierait en fait démarrer, décoller ou catalyser le développement durable dans notre pays. Ce qui créerait par conséquent les effets d'entrainement pour le développement des autres pays d'Afrique et aussi ceux du Monde entier.

Mais, la RD Congo ne pouvait jouer son rôle de leadership en Afrique que si elle retrouvait en son sein un Leader-Démocrate, patriote et nationaliste, un Homme capable de s'interroger sur le pourquoi de la stagnation du développement du pays pendant plus de soixante ans d'indépendance et qui doit chercher les voies et moyens pour en sortir en vue de l'avenir meilleur et de son Peuple et de son pays. Au jour d'aujourd'hui, il est incontestable que le Congo Démocratique a finalement eu la chance de retrouver, grâce à la volonté divine, cet Oiseau Rare longtemps recherché.

Il s'agit indubitablement de Felix-Antoine Tshisekedi Tshilombo ; seul Leader qui a montré durant son premier mandat qu'il a bien mieux compris Frantz Fanon et qui a tenté et qui continue de tenter de matérialiser sa pensée. La RD Congo ait connu un Kimbangu, un Kimpe-Vita, un Lumumba, un Laurent Désiré Kabila, un Etienne Tshisekedi comme leaders charismatiques, nationalistes et patriotes, potentiellement capables de transformer positivement la RD Congo. Sur ce point précis, Fatshi se rapprocherait d'eux en ce sens qu'il accuse, comme chacun d'entre eux, une intelligence pratique extraordinaire et une sagesse légendaire.

A l'instar de ces vieux combattants de la Liberté, il manifeste en plus la même volonté politique, la même détermination absolue de bâtir, contre vent et marrées, un Congo réellement libre, plus beau qu'avant, à léguer à la postérité. Tout cela lui réussit grâce à sa diplomatie de développement et à son esprit diplomatique pointu dans ce domaine. Mais, la seule différence qui existerait entre les vieux combattants de la Liberté et Fatshi résiderait dans le fait qu'en plus de son apparence à la fois lymphatique, bilieux et parfois déroutant, celui-ci apparait comme un très bon tacticien et un bon dribleur dans ce jeu politique ; il sait esquiver certains coups percutants qui devraient le mettre sans doute un véritable KO ; il sait à quel moment répliquer ou attaquer l'ennemi implanté, à quel moment prendre du recul. Felix-Antoine Tshisekedi sait à un certain moment se faire bête devant un adversaire farouche, malicieux et hypocrite, pour le convaincre de sa bonne foi à réaliser les accords convenus si, jamais, il constatait que cette bonne foi est réciproque. Cela au nom de l'intérêt supérieur de la Nation.

Voilà pourquoi, il évite de la sorte un combat corps à corps adopté jusque-là par les Anciens combattants de la Liberté face aux spoliateurs des richesses de la RD Congo. Lorsqu'il prit le Pouvoir, dans son état des lieux, le Président de la République, Chef de l'Etat, Felix-Antoine Tshisekedi, se rendit compte que la RD Congo n'était qu'une vaste jachère, une coquille vide et qu'elle était déjà, sans le déclarer, la propriété privée de Paul Kagame dirigée par son "Gouverneur de province" Joseph Kabila.

Le pays était complètement pillé par les étrangers, principalement les Rwandais et les Ougandais, soutenus dans leur entreprise malsaine, par toutes les puissances occidentales opérant par l'entremise de leurs Sociétés Multinationales ; une RD Congo complètement isolée du reste du Monde. Paul Kagame en était étonnement son Porte-parole dans des Forums internationaux organisés surtout dans le secteur minier.

Les FARDC, la PNC et le Service de renseignement étaient infiltrés et contrôlés par les Rwandais jusqu'à la moelle des os.

Les infiltrations en question étaient le fruit de plusieurs négociations de façade entre la RD Congo et le Rwanda par le biais des Occidentaux. Cela dans le but de désamorcer une guerre stratégique et injuste lui imposée par le Rwanda via la CNDP, muée aujourd'hui en Mouvement du 23 mars (M23).

Voilà ce qui était à la base de la destruction profonde de notre pays, une destruction qui a commencé par la désorganisation du système d'éducation, par la dépravation des moeurs, par la stagnation de l'économie congolaise et par la désintégration de l'Homme, pourtant moteur du développement durable de notre Société politique. Devant ce tableau très sombre de notre Corps politique sous les Régimes passés, le Président de la République, Chef de l'Etat, Felix-Antoine Tshisekedi Tshilombo a conçu une Vision claire du développement de ce grand pays pour qu'il soit le catalyseur du développement de l'Afrique.

Cette Vision Fatshiste, faut-il le rappeler, est posée sur quatre piliers essentiels dont (i)l'Homme qui doit être transformé moralement et intellectuellement pour qu'il soit le moteur du développement, le transformateur de sa propre mentalité et de celle des autres, doué de l'esprit de défense, afin qu'il redevienne le centre de développement ; (ii) la Gouvernance qui est une saine organisation de la gestion de la chose publique en vue d'assurer le bien-être intégral du peuple congolais axé sur le raffermissement de l'esprit de transparence, de patriotisme et de nationalisme ; (iii) le développement durable devant tenir compte de l'écosystème environnemental actuel et futur pour le bien-être de la postérité ; (iiii) l'économie diversifiée, inclusive et compétitive sans oublier la transformation de la RD Congo en (iiiii) une Société solidaire.

Pendant que cette Vision est en train d'être matérialisée à travers le Plan de Développement de 145 Territoires (PDL-145T) par le Gouvernement de la République sous le leadership infatigable et exemplaire du Chef de l'Etat, la diplomatie de développement est en train d'être menée par celui-ci pour que la RD Congo isolée du reste du Monde retourne dans le concert des Nations, qu'elle redevienne fréquentable, qu'elle se choisisse elle-même son porte-parole.

Voilà ce qui fait qu'aujourd'hui rien concernant la RD Congo ne peut être traité, ni à l'ONU, ni dans les organismes des Nations Unies, ni non plus dans les organisations régionales et sous régionales continentales sans la participation active de ce Géant au coeur de l'Afrique sous les auspices de Fatshi.

Dans tous les cas, le Monde entier est convaincu actuellement de l'importance de notre Société politique dans sa participation à la résolution des problèmes d'intérêt humanitaire qui se posent dans le Monde notamment ceux relatifs au réchauffement climatique, à la géostratégie, à la résolution des conflits en Afrique et à travers le Monde A sa prise du Pouvoir, Felix-Antoine Tshisekedi fournit beaucoup d'efforts pour créer des amitiés avec tous les dirigeants du Monde, et particulièrement avec ses voisins Rwandais, Ougandais, Burundais, Soudanais, Congolais (Brazza), Tanzaniens, Centrafricains, Tchadiens et Kenyans. Il s'inséra dans la barge de la SADC, dans la CEAC et dans la trame des Etats de l'Afrique de l'Est ; cela en vue de tisser et de renforcer ses liens d'amitié avec eux et mettre fin aux attaques terroristes menées surtout par le Rwanda et l'Ouganda. Il croyait ainsi en la bonne foi de tous pour la réalisation des projets d'intérêt commun pour le développement durable de chaque pays voisin.

Malheureusement, il va être déçu de constater que ses soi-disant amis avaient une mission suicide et secrète contre la RD Congo que la mission véritable de développer leurs entités respectives. Malheureusement, Felix-Antoine Tshisekedi comprit à temps qu'il avait à faire à certains dirigeants dont Kagame et Museveni qui, en complicité avec de grandes puissances occidentales, avaient un intérêt hégémonique sur le Congo Démocratique. Ces puissances occidentales cherchaient et continuent de chercher à balkaniser son pays en utilisant intensément deux de ses voisins, en l'occurrence le Rwanda et l'Ouganda, comme leur base arrière. Il radicalisa, pour ainsi dire, sa position en jurant, au nom des Pères de l'indépendance, ne pas voir son pays être balkanisé à l'instar de ce qu'elles ont fait du Soudan et de la Yougoslavie, ni être télé-dirigé ni surexploité par l'intriguant Kagame et ses ouailles. Il doit demeurer une propriété incessible de ses filles et fils et personne n'a le droit de s'en emparer pour en faire une utilisation abusive en défaveur de son Peuple.

Voilà pourquoi Félix-Antoine Tshisekedi remit notre pays à Dieu Tout-Puissant pour qu'il en soit Lui-même le Protecteur. Qu'Il lui donne la Force de triompher de ses ennemis comme Il le fit de la postérité d'Abraham. Un geste suffisamment significatif sur le plan spirituel. Dieu lui permit ainsi de déboulonner les Forces du mal regroupées au sein de Front Commun pour Congo (FCC). Voilà la première victoire surprenante remportée sur Joseph Kabila par celui qu'il sous-estimait, celui qu'il considérait comme un distrait et qui a pu dénouer ce qui semblait être fortement noué.

C'est cette victoire qui déterminera la longévité de son Pouvoir politique. Dans son action, Fatshi va prioriser la restructuration, la formation et l'équipement des FARDC, de la PNC et de Service de renseignement, afin de répondre du tic au tac aux attaques terroristes du M23-RDF et à n'importe quelle provocation issue des Armées de pays voisins.

Son refus de négocier avec ces Forces terroristes lui permit de contenir des infiltrations rwandaises et de poursuivre sans atermoiement le curage des rangs de la Force publique de défense et de sécurité de la RD Congo. Cette position prouva que Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo aimait et continue à aimer profondément son peuple et son pays et qu'il était prêt et continue à être prêt à sacrifier sa vie pour que la Nation congolaise vive, prospère et demeure à jamais uni. Un tel dirigeant, encore en exercice au Pouvoir dans ce pays, n'avait jamais manifesté une telle détermination que le chouchou actuel du Peuple congolais. L'on nous objectera que P.E. Lumumba le fit, LD Kabila a tenté de le faire.

C'est vrai. Mais, malheureusement, ils le firent tour à tour en toute naïveté, impatience et impulsivité, sans prendre le temps d'analyser à fond la voie empruntée et le discours politique conséquent pour atteindre l'Idéal poursuivi. Tirant donc la leçon issue de longues agressions rwandaises et de celle de luttes historiques de libération de la RD Congo du joug occidental ainsi que le triste sort subi par les différents Leaders tant civils que militaires y impliqués, Félix-Antoine Tshisekedi, dans sa gouvernance, a pu adopter une stratégie déroutante qui lui a réussi, celle de se faire passer pour un naïf, un distrait, un dingue ou un crétin devant les ennemis de la Nation ; les étudier, les connaitre et savoir travailler avec eux. Au fond, il un homme extrêmement intelligent, calme, sage, mais ferme dans ses prises de position et sait pertinemment bien par où passer pour atteindre ses objectifs lorsqu'il s'agit surtout de la défense des intérêts de la Nation face aux prédateurs tant de l'intérieur que de l'extérieur du pays.

C'est ce comportement parfois indéchiffrable, mais respectueux et prudent qui lui permet d'arracher progressivement l'indépendance politique et économique de la RD Congo des mains des étrangers et de booster le développement durable de ce Grand et Beau pays. Voilà pourquoi le Chef de l'Etat Felix-Antoine Tshisekedi a réussi à jeter les jalons pour le décollage développemental de son pays, la gâchette de l'Afrique.

Il a commencé par révolutionner le secteur de l'éducation et les autres secteurs du développement durable.

A travers ces réalisations inattendues, il sied de constater sans être forcé que la volonté politique existe en lui et que le Congo Démocratique est effectivement sur la voie du développement soutenable.

C'est pour cela que nous affirmons sans nul doute que Fatshi est pour le moment considéré dans ce pays comme cet Oiseau Rare longtemps recherché et actuellement retrouvé pour rendre heureux le Peuple et libérer politiquement et économiquement la RD Congo du joug occidental n'en déplaise à l'opposition politique du faire-valoir qui joue son rôle démocratique maladroitement.

Cela vient d'être éloquemment démontré par les résultats confortables issus des élections du 20 décembre dernier qui l'ont plébiscité Président de la République avec 73,34% de suffrage exprimé et d'une majorité conséquente au sein du Parlement.

Fait à Kinshasa, le 21 janvier 2023

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