A l'approche des élections régionales et législatives, certains opposants réclament la création d'un forum de dialogue plus large que le Cadre permanent de concertation (CPC) déjà existant.
Mais pour Adrien Béléki Akouété, ancien président du CPC, et leader de la Convergence patriotique panafricaine (CPP, opposition), les conditions d'un dialogue existent déjà. Il n'est nul besoin d'en créer un nouveau.
'Tous ceux qui tirent aujourd'hui sur le CPC, étaient, pour la plupart, membres de cette structure. Ils ont honte de revenir aujourd'hui, raison pour laquelle ils réclament quelque chose de nouveau', explique-t-il.
L'agitation dans les rangs de l'opposition coïncide avec l'adoption par les députés d'un loi prévoyant un nouveau découpage électoral.
Au lieu de 91 actuellement, 113 élus siègeront dans le nouveau Parlement.