La chanteuse Germano-congolaise SOLINA, Muana Mboka-Popy nationale
SOLINA et son staff Managérial
Elle chante parfaitement bien en lingala mais aussi en français, anglais et en espagnol. Sa musique est sans frontière. Elle est destinée à toute catégorie du public dont la jeunesse constitue sa cible principale. Elle, c'est SOLINA Marie Julie alias "Muana Mboka", une nouvelle étoile de la musique urbaine en République Démocratique du Congo.
Auteure- compositrice et interprète, la jeune chanteuse germano-congolaise est belle, swag et séduisante. SOLINA vient encore de se révéler aux mélomanes à travers son nouveau tube succulent intitulé »Telema Bouger ». Cette oeuvre a fait l'objet d'une conférence de presse à Kinshasa où l'artiste a échangé avec les chevaliers de la plume et du micro.
Pour la Popy Nationale, "Télema Bouger" est un cantique tiré de son nouvel EP (extended play) qui va contenir deux ou trois titres. Elle est déjà disponible sur le marché international de la musique urbaine.
«Les mélomanes peuvent savourer "Télema Bouger" sur toutes les plateformes numériques de téléchargement des musiques : Spotify, Apple Music, Amazon Music, deezer, boomplay et ITunes », a-t-elle précisé.
Et d'ajouter : «Les fans peuvent aussi visualiser la vidéo dans mes différents comptes et pages officielles sur les réseaux sociaux : You tube, instagram, tik-tok et facebook».
Sur le plan artistique, la vidéo de «Telema bouger» regorge une qualité exceptionnelle avec un scénario lucide qui ne va pas laisser indifférent les friands de la musique urbaine.
Musique urbaine : Muana Mboka s'affirme avec «Téléma bouger» !
Évidemment, la chanson est composée des sonorités vibrantes proposées et accompagnées d'un beat authentique qui motive la danse».
«Comme son titre l'indique, "Telema bouger" est une chanson dansante que j'offre à mes fans afin de célébrer la fête en ce début de la nouvelle année. C'est un cantique qui donne de l'espoir. Même si tu tombes, ayez le courage de te lever rapidement pour continuer le chemin », a déclaré la Popy nationale.
Et de poursuivre : «La chanson porte ma propre signature. C'est un catalyseur d'ambiance festive avec des paroles attirantes à travers ma voix et une rythmique moderne pour allumer le feu. Il s'agit d'une animation irrésistible en mode solo concoctée dans le style afrobeat qui reste un rythme dénominateur de la musique ».
Selon la chanteuse, "Telema bouger" intervient en attendant la sortie prochaine « Mi -Amor », une autre chanson romantique qui permettra aux mélomanes de découvrir sa force artistique.
«Je réserve plusieurs autres surprises à mes fans cette année. Je veux vous faire trembler avec mes oeuvres. J'ai vraiment besoin de votre soutien. Car ma musique est l'expression de l'amour que je porte pour le Congo », a annoncé cette étoile montante de la musique Afro-urbaine.
Sous l'encadrement de sa mère biologique qui est également sa Manager, elle a été limpide et ouverte dans ses réponses.
Solina : une carrière radieuse qui s'annonce fracassante !
Très intelligente et sage, SOLINA a convaincu les journalistes qui l'ont découverte pour la première fois.
«Je tiens à féliciter Solina pour la qualité du travail proposé aux mélomanes de la bonne musique. Vous êtes sur le bon chemin pour poursuivre votre carrière. A peine, je vous découvre et je pense que vous irez très loin dans la musique. Je te conseillerai de bien garder ta manager et ton responsable de communication. J'apprécie beaucoup la réalisation de ton clip vidéo qui est très impressionnant en termes de chorégraphie, rythmique, sons et scénario. Bravo l'artiste !», a soutenu Kaki Akewa, un des journalistes et doyens de la chronique musicale en RDC.
Cette rencontre avec les professionnels de média a été également une aubaine pour l'artiste de vendre non seulement son image mais aussi de fixer l'audience sur ses origines.
De père allemand et de mère congolaise, Solina appelée affectueusement "Muana Mboka" se dit fière et heureuse d'avoir des racines en République Démocratique du Congo. Donc, elle a du sang congolais dans ses veines. Cette grâce divine lui a permis de développer vite sa passion pour la musique congolaise et de comprendre ses diverses sonorités. C'est depuis son enfance dans la maison de ses parents, renseigne la chanteuse, qu'elle a été initiée dans la musique y compris la Rumba congolaise.
«Je suis une artiste musicienne polyvalente qui joue également à beaucoup d'instruments de musique, notamment la batterie, le piano, guitare.... Parlant de la musique congolaise, le Congo est un grand pays de musique. J'ai grandi, en écoutant Pépé Kallé, Madilu, Mbilia Bel, Tshala Muana...», a expliqué SOLINA.
Il faut noter qu'elle n'a que deux ans de carrière professionnelle dans l'art. Son début est parti avec plusieurs prestations scéniques dans la capitale et l'intérieur du pays. Sa discipline et son talent ouvrent un chemin lumineux à l'artiste qui est très appréciée et qui se fait déjà de nombreux fans en Afrique, notamment au Congo, Zambie, Angola, Tanzanie, Nigéria et Afrique du Sud.
Popy Nationale compte sur ses efforts personnels
La princesse de l'afro-beat urbain ne rêve d'aucun artiste de sa génération pour booster sa carrière. Elle compte avant tout sur son savoir-faire et son talent afin de s'affirmer ou de gagner une place dans la musique urbaine. D'où, elle multiplie des efforts et travaille jour et nuit pour se performer davantage.
«Je ne calcule personne mais je reste ouverte pour tout featuring avec les jeunes de la musique urbaine dont certains font un travail exceptionnel. Car, il y a des musiciens talentueux que j'apprécie beaucoup en RDC », dixit SOLINA.
Et de conclure : « Je me suis déjà lancée dans l'art avant de rencontrer Félix Wazekwa pour réaliser notre collaboration dans sa chanson »Paracétamol » dans laquelle j'ai placé juste un vocal. Après ce featuring, il n'y a aucune autre relation mais on est en bon terme entre collègues. Peut-être, il y a encore des featuring dans l'avenir avec d'autres musiciens congolais et pourquoi pas des autres pays du monde. Ma voix est disponible pour tout le monde ».
Née en 2003, à Munich en Allemagne et grandie à Ibiza en Espagne, en passant par Londres pour faire ses études, SOLINA est congolaise à travers sa mère qui est originaire des provinces de l'Equateur et du Kasaï.