<strong>Addis Abeba, le — : - Des journalistes de différents pays ont noté que pour changer le faux discours sur l'Afrique, il est nécessaire de prendre en compte la réalité du continent et d'y contribuer.
Keleso Tobega, journaliste au Botswana Guardian, a affirmé qu'il est encore perceptible que l'Afrique soit présentée dans un récit erroné comme un continent de ténèbres et de désespoir.
En outre, elle a expliqué que l'histoire de l'Afrique est une histoire de crise, de guerre, de dépendance à l'égard des pays riches, d'aide, de faim et d'instabilité.
Elle a souligné que le moment était venu de mettre en avant les récits positifs pour construire une bonne image de l'Afrique à l'ère de la technologie et des diverses méthodes de diffusion de l'information.
Elle a indiqué qu'en plus de construire l'image du pays séparément, il fallait renforcer la coopération et la coordination entre les journalistes du continent.
Le journaliste de la société de diffusion de Mauritius, David Casimir, a souligné qu'il existe des lacunes dans l'information du monde sur le développement économique réalisé par l'Afrique.
Le rôle des journalistes est irremplaçable pour réaliser le projet de l'Union visant à créer une Afrique prospère, pacifique et unie.
Bien que les journalistes ne soient exempts de conflits sur aucun continent du monde.
Les journalistes du continent ont déclaré que nous avons une grande responsabilité pour changer la situation qui consiste à présenter l'Afrique comme un centre de conflit.
Les journalistes ont également confirmé qu'ils contribueront à bâtir la bonne image de l'Afrique.