Mercredi dernier, une opération policière dans les zones rouges d'insécurité à Toamasina a mené à la neutralisation de deux bandits par la police de l'UIR, tandis qu'un autre a été arrêté vivant. L'incident s'est déroulé dans le quartier d'Ankirihiry, où les trois malfaiteurs ont été repérés en train de préparer leurs méfaits lors d'une patrouille.
À la vue des forces de police, les malfaiteurs ont tenté de s'enfuir, ignorant les sommations. Les policiers, contraints d'utiliser leurs armes, ont abattu deux des bandits sur place. Ces criminels étaient connus pour semer la terreur dans divers quartiers de Toamasina, générant plusieurs plaintes à leur encontre.
Ambohijanaka
Dans un autre incident à Ambohijanaka, un bandit a succombé à ses blessures vers 2 heures du matin, hier. Appréhendé par le fokonolona après avoir volé un boeuf, le bandit a été battu par la communauté locale. Alertés par le maire, les gendarmes se sont dépêchés sur les lieux. Suite à l'enquête sur place, le bandit a révélé la cachette de ses complices. Les gendarmes et les fokonolona ont décidé de l'escorter jusqu'à leur repère. Cependant, lors du trajet nocturne, le bandit a tenté de s'échapper, exploitant l'obscurité. Les forces de l'ordre, contraintes de tirer pour le stopper, ont malheureusement provoqué sa mort.
Selon les informations de la gendarmerie, ce bandit et ses acolytes étaient probablement responsables des attaques à mains armées dans différents fokontany de la commune d'Ambohijanaka. La même nuit, une nouvelle attaque armée a été signalée à Tsilazaina, près d'Angomasina. Une enquête approfondie a été lancée pour clarifier les circonstances de cet incident et identifier d'autres complices potentiels.
Malgré ces défis, les actions déterminées des forces de l'ordre reflètent un succès significatif en matière de sécurité publique, soulignant leur engagement à faire face à la criminalité dans la région.