Au lendemain de l'ouverture de la grève illimitée et voulue générale en réclamation de points concernant l'ensemble des citoyens guinéens notamment: la cherté de la vie, la libéralisation des ondes et du journaliste Jamal Pendessa, Amadou Oury Barry secrétaire à la syndicalisation du SPPG a estimé que le mouvement a été suivi à hauteur de 90% car les écoles primaires, les collèges, les lycées et autres universités sont tous paralysés idem que le secteur des transports, le transfert d'argent mobile, les banques.
Amadou Oury Diallo déplore que deux jeunes personnes soient tombés sous les balles assassines des forces de l'ordre dans ce qui est devenu un ballet répressif quasi quotidien.
Chez les médias a conclu l'activiste, le constat est mitigé certains ont suivi le mot d'ordre et d'autres non, cependant aux dernières nouvelles les responsables syndicaux demandent à la presse privée de couvrir le déroulement de la grève pour éviter le traitement orienté de la RTG qui travaille à désinformer l'opinion sur l'impact réel du mouvement à la base et aux 4 coins du pays.