Après la première phase en décembre dernier, grâce à l'appui des partenaires à l'exemple de l'Unicef etc., la campagne de recensement des personnes vivant avec un handicap a démarré timidement dès l'annonce.
Selon le superviseur Guy Martial Elongo Bouka, le travail mérite plus de sensibilisation et d'information sur l'importance des parents à venir avec leurs enfants handicapés à se faire recenser.
Cette opération qui vise les mal-voyants, les aveugles, les sourds, les épileptiques, les drépanocytaires et des personnes atteintes des maladies mentales, est une initiative importante pour les populations.
Même si le nombre des agents recenseurs est à revoir à la hausse au regard du volume du travail dans les départements, il est nécessaire de reconnaître que les moyens matériels pour la réussite de cette opération qui s'est achevée le 2 mars était attendue par tous.
Selon le superviseur en charge des affaires sociales à Koula-Moutou et le superviseur de ladite opération, l'État fait assez d'efforts pour satisfaire les besoins des populations. C'est par exemple le cas des actes de naissance déjà disponibles à ses services depuis plus de deux ans. Ils ont été établis dans le cadre de la campagnes des apatrides. Les bénéficiaires sont priés de se rapprocher dudit service.