Après l'éclosion du cas d'abus sexuel d'un agent de la gendarmerie ivre sur une femme au poste de Koïn, le sous préfet à suivi l'affaire jusqu'à discuter avec les patrons de l'indelicat agent de sécurité qui selon lui serait aux mains de sa hiérarchie précisant qu'il tient l'information de la hiérarchie de l'homme en poste au centre urbain de Tougué.
Joint au téléphone en ce 8 mars, le commandant de la gendarmerie de Tougué à brièvement expliqué ce qu'il sait du sort de l'agent.
Quand l'affaire s'est passée, la hiérarchie m'a demandé de mettre le jeune en route pour Labé. Le jeune est au niveau de la hiérarchie, je ne sais pas ce qu'il s'est passé, le jeune est aux mains du tribunal militaire..."
Cette affaire pointe son nez pendant que l'armée peine à faire bonne presse au près des citoyens qui la considèrent comme une armée de répression au service des dirigeants plutôt qu'une chose publique en charge de protéger les citoyens et leurs biens.
La justice militaire communiquera-t-elle sur cette affaire ou le jeune homme s'en tirera sans problème comme c'est souvent le cas quand un homme en tenue est impliqué dans une affaire criminelle ou délictuelle ?
L'avenir nous le dira.