L'Atfd a organisé hier, vendredi 8 mars, à 16h, une marche au centre de Tunis, pour exprimer sa solidarité avec le peuple palestinien contre l'occupation sioniste. ©La Presse/ Abdelfatteh Belaid
A cette occasion, la présidente de l'Atfd, Neila Zoghlami, a indiqué, à l'ouverture de cette conférence organisée à l'occasion de la Journée internationale de la femme, que son association réitère son attachement aux valeurs de liberté, de justice sociale et de dignité humaine face au génocide perpétré contre le peuple palestinien à Gaza.
L'Association tunisienne des femmes démocrates (Atfd) a organisé hier, en collaboration avec des associations de femmes palestiniennes une conférence internationale intitulée «féminisme intersectionnel et féminisme universel, entre multiplicité des interprétations et diversité des réalités».
A cette occasion, la présidente de l'Atfd, Neila Zoghlami, a indiqué, à l'ouverture de cette conférence organisée à l'occasion de la Journée internationale de la femme, que son association réitère son attachement aux valeurs de liberté, de justice sociale et de dignité humaine face au génocide perpétré contre le peuple palestinien à Gaza.
Elle a dénoncé l'impuissance des instances internationales des droits de l'homme à mettre fin aux massacres sionistes contre les Palestiniens, hommes et femmes.
L'Atfd a organisé hier, à 16h une marche au centre de Tunis, pour exprimer sa solidarité avec le peuple palestinien contre l'occupation sioniste.
De son côté, la journaliste palestinienne Anouar Abdelkrim Aouina déplore qu'après 152 jours de guerre contre Gaza, quelques femmes palestiniennes enceintes souffrent de graves problèmes de santé, en raison de la malnutrition et de l'insuffisance de l'assistance médicale et des équipements sanitaires.
Pour sa part, la directrice générale du centre des études sur la femme en Palestine, Sama Aouidha, a évoqué la situation humanitaire dans la bande de Gaza et ses répercussions catastrophiques sur les familles et les enfants. «Les familles en quête de refuge sont hébergées dans des écoles ou des hôpitaux dans des conditions inhumaines» a-t-elle ajouté.