L'an 2025 se rapproche avec ses différents enjeux électoraux, législatifs et présidentiels. Dans la ville de Maroua, Djamila Babalé, Youssouf Issa Balarabé, Hamadou Hamidou, tous cadres du RDPC, s'affrontent depuis 2020 et font un travail de proximité proactif en vue de préparer la prochaine élection prévue en 2025.
Ces batailles politiques ont des répercussions sur la perception qu'ont les populations quant aux réalisations du renouveau , certains accusant ceux qui occupent des fonctions de ne rien faire et de laisser pourrir la ville. Pourtant la réalité est toute autre chose.
Projets C2D réalisés et en cours de réalisations dans la ville de Maroua : « Réhabilitation de la voirie revêtue en béton compacté au rouleau (BCR) et en pavés sur une distance de 15 kilomètres. L'acquisition les équipements sociaux, la construction et la réhabilitation d'infrastructures et d'espaces verts et la promotion des activités génératrices de revenus pour les populations vulnérables à travers l'économie verte et circulaire , 240 Points d'éclairages publics dans les quartiers Pont Vert, Hardé, Louggol, Pitoaré ; 2874 mètres linéaires d'extension du réseau d'eau potable dans les quartiers Pitoaré ; 02 Toilettes publiques dans les quartiers Hardé et Pont Vert ; 15 Blocs de Latrines scolaires dans 10 Ecoles primaires publiques de la ville de Maroua ; 885 tables bancs dans 11 Ecoles primaires publiques.
La construction du marché de Douggoi (550 points de ventes), d'une salle polyvalente de 1000 places modulables ; de trois marchés secondaires au niveau de Pont Vert, Loumo Baba et Djarengol Kodek ; de 3 espaces de grillade au lieu-dit Ministère de Soya, Founangué et Fassao ; de trois terrains multisports à Domayo, Fassao et Founangué ; de deux crèches à Domayo et à Founangué ainsi que l'aménagement de deux jardins au niveau de Sous le Bois (face Résidence Présidentielle) et en face de la Préfecture. »
A Maroua y a pas que le C2D, .Au-delà des 500 logements sociaux de Sekande dans la ville de Maroua et l'hôpital de référence de Maroua, Carrefour TOTAL Domayo, Boulevard du renouveau, plusieurs autres projets d'infrastructures sont en cours pour accélérer la modernisation des infrastructures et des équipements de la capitale régionale de l'Extrême-Nord, booster le développement et en faire une ville durable et attractive, capable de concurrencer avec plusieurs autres villes du Monde.
Dans une vidéo devenue virale sur la toile, vidéo dont les propos ont été sortis de son contexte , la ministre recadrait les autorités municipales de Maroua qui, à cause des batailles de positionnement politique au sein du parti au pouvoir, instrumentalisent les projets de développement de la ville ,ce qui tend à décrédibiliser les actions salutaires du président de la république .Pourtant a telle explique, si tous ces projets sont possibles aujourd'hui, c'est grâce à l'engament pris par le chef de l'État auprès des organismes mondiaux sur le climat et les ODD.
Cette vidéo qui en réalité était un recadrage a permis aux détracteurs d'alimenter une haine gratuit contre une ministre qui tenait à rappeler à ceux qui instrumentalisent les populations que beaucoup de choses qui n'existaient pas avant ont été réalisés . Un recadrage qui fait penser au ministre Mbwentchou ex Ministre de l'Habitat et du Développement Urbain lors d'une vite dans la ville de Bafoussam en 2014.
«Il n'y a plus de nids de poules sur les routes de Bafoussam. Ce sont des poches d'éléphants »
«Il n'y a plus de nids de poules sur les routes de Bafoussam. Ce sont des poches d'éléphants » expliquait le ministre Jean Claude Mbwentchou devant les autorités de la ville, il avait invité le maire Nzete Emmanuel à «rendre compte ». Car lui -même rendait compte au chef de l'état sur l'évolution des projets de transformation des villes et communes du pays.
Bafoussam dans un état déplorable avec «des herbes qui dépassent la taille du ministre que je suis et qui n'est pas déjà petit en taille (...), des dépôts d'ordures un peu partout, des caniveaux bouchés qui dévient la circulation des eaux de pluie dans la ville et dégradent les routes. Il ne faut pas tout attendre de l'Etat. Il y a des petits efforts qui ne coûtent rien qui méritent d'être réalisés pour l'embellissement de la ville» disait le ministre Jean Claude Mbwentchou qui contrairement au ministre Courtes Ketcha, réalise et suit de très près l'évolution des travaux de développement de la Maroua..