L'opposition risque d'être en situation d'échec à l'issue des élections législatives et régionales du 20 avril, estime Jean Kissi, ancien secrétaire national du Comité d'action pour le renouveau (CAR).
Selon lui, la division de l'opposition est l'une des raisons de la catastrophe annoncée.
'Cette fragmentation affaiblit la capacité de l'opposition à présenter une alternative crédible et unie aux électeurs', a-t-il déclaré samedi au micro d'une radio privée.
Pour le 20 avril, la messe est dite, mais il reste une chance pour la présidentielle de 2025, souligne M. Kissi. A condition que l'opposition s'unisse et se mobilise dès maintenant.
Comme dit le proverbe, l'espoir fait vivre.