Le Monima s'est prononcé sur la situation qui règne dans le pays actuellement.
Selon le président national de ce parti, Monja Roindefo, « nous avons été les témoins de l'imperfection de l'élection présidentielle de 2023 qui foule aux pieds la Constitution. C'est la raison pour laquelle nous avons mis en place la cellule de crise ». Il a aussi touché mot des législatives, « comme nous le savons, ce sont des élections de proximité, ce qui signifie qu'il s'avère nécessaire de continuer la lutte, en vue d'instaurer un Etat de droit. Malgré tout, les points de vue du Monima n'ont pas changé concernant les mauvaises pratiques sur les élections.
La situation politique actuelle est compliquée sans parler de l'économie et du social ». Et l'ancien Premier ministre d'enfoncer le clou : « Nous sommes à la croisée des chemins. Il n'y a pas d'augmentation de salaire alors que le coût de la vie ne cesse de grimper. L'insécurité qui ne cesse de gagner du terrain, il en est de même pour la corruption ». Il a aussi indiqué que le Monima a toujours été le leader pour établir le « Fahamarinana » et la démocratie.