Il n'est pas prévu de discussions entre les représentants des partis extra-parlementaires et les députés, a indiqué mardi l'Assemblée nationale.
Les consultations se déroulent sur le terrain directement avec la population via les chefs traditionnels et les groupes organisés.
Il est bien sûr question de la révision constitutionnelle qui prévoit de faire basculer le Togo d'un régime semi-présidentiel à un régime parlementaire.
Pour Mawussi Djossou Semondji, le président de la Commission des finances de l'Assemblée, les chefs traditionnels sont plus représentatifs que les leaders politiques.
Les consultations doivent s'achever mercredi. Ensuite, les députés réunis en plénière procèderont à une relecture du texte adopté le 25 mars dernier en y ajoutant ou pas des changements.