La nomination d'une femme à la primature pour la première fois de l'histoire de la République Démocratique du Congo a suscité plusieurs réactions.
Certaines ont salué un acte de promotion du genre et de la parité homme-femme.
D'autres par contre, revêtent un caractère sexiste et discriminatoire.
Ces réactions se basent sur des préjugés selon lesquels la femme est un être faible, elle ne peut pas apte à exercer certaines fonctions qui sont réservées à l'homme seul.
D'autres encore aux origines, à la tribu ou encore à l'apparence de la femme promue.
Quel impact ces paroles négatives ont la place ou le rôle de la femme dans notre société ? - comment arriver à changer ce discours ?
C'est le ton qui fait la panique reçoit :
- Grâce Israella Kangundu Ngyke, Journaliste et conseillère genre à l'ACP et présidente de l'Association congolaise des femmes journalistes de la presse écrite (ACOFEPE) ;
- Yvette Mushigo, Secretaire executive de la Synergie des femmes pour la paix et la reconciliation des peuples des Grands Lacs.