La justice congolaise a reconnu Moussa Mondo coupable des coups et blessures ayant entraîné la mort de sa propre femme.
Selon le verdict prononcé le 16 avril dans la soirée par le Tribunal de Grande instance de Kinshasa/Gombe qui siégeait en procédure de flagrance sur l'affaire, en plus de cette privation de liberté, l'ancien vice-ministre des Hydrocarbures, Moussa Mondo, est également condamné à payer une amende d'un million de francs congolais. Moussa Mondo, a-t-il souligné, est accusé d'avoir tué sa propre femme après l'avoir sérieusement tabassée.
A la suite des coups qui occasionné des blessures et autres dommages, cette femme, de nationalité malgache, avait été acheminée à l'hôpital d'où elle n'avait pas survécu. Selon des sources, dans sa défense, l'accusé a continué de nier avoir tué sa femme. Pour Moussa Mondo, cette dernière a succombé d'un cancer. Il est également rappelé que plusieurs photos de cette femme, avec le visage déformé et surtout l'œil droit enflé, ont circulé sur les réseaux sociaux.
Il y avait égalent une photo où on l'a trouvait avec son mari devant une mosquée. Dans les commentaires, une certaine opinion note la jalousie comme cause de cette violence de la part de l'ancien vice-ministre. D'après cette version des faits, Moussa Mondo avait craqué parce que sa femme aurait eu un enfant avec son patron alors qu'elle était légitimement mariée à lui et vivait sous son toit.