Dimanche dernier, la communauté malgache à Kinshasa, en République démocratique du Congo, a été frappée par une tragédie déchirante : le décès brutal de Khadidja Alisa, une jeune femme malgache résidant à Kinshasa, victime de violences conjugales ayant entraîné sa mort. Son mari, Moussa Mondo, un ancien membre du gouvernement FCC-CACH et ex-Vice-ministre des hydrocarbures (2019-2021), a été appréhendé le soir du dimanche 14 avril à Kinshasa pour les besoins de l'enquête, étant suspecté d'être l'auteur du décès de son épouse.
Les témoignages recueillis font état de violences physiques extrêmes infligées à la jeune malgache, qui n'a malheureusement pas survécu à ses blessures malgré les soins prodigués lors de son hospitalisation à l'hôpital CHIP de Kinshasa. La nouvelle de cet acte barbare a profondément choqué la population congolaise, qui a exprimé son indignation face à cette violence inouïe. Des témoignages décrivent Moussa Mondo comme un individu naturellement agressif, suscitant une vague d'émotions et de condamnations.
Malgré les tentatives de contournement des faits par l'accusé, les preuves médicales ont confirmé que la jeune malgache est décédée des suites de ses graves blessures, mettant en lumière l'ampleur de la tragédie et la nécessité de rendre justice à la victime. L'ambassadeur malgache en Afrique du Sud a déjà pris des mesures en contactant les autorités congolaises pour évoquer cet incident tragique, soulignant l'importance de faire la lumière sur cette affaire et de garantir que justice soit rendue.