Luanda — La secrétaire d'État à l'Action climatique et au Développement durable, Paula Francisco Coelho, a considéré jeudi, à Luanda, comme fondamentale, l'implication de tous les secteurs dans la création d'un environnement sûr, propre, sain et durable.
Selon la dirigeante, il est nécessaire d'aborder les enjeux cruciaux à l'échelle de la société dans son ensemble, y compris le gouvernement, les organisations non gouvernementales et les partenaires, pour le bien de l'environnement.
La secrétaire intervenait lors de l'atelier célébrant le 10ème anniversaire de l'Association des Femmes Maritimes, Portuaires et Activités Connexes d'Angola (AMMPACA), qui a servi à présenter deux projets liés à l'environnement, notamment PAMPA et KAMBAMER.
Selon la gouvernante, chacun a un rôle à jouer dans la promotion et la sauvegarde de l'environnement.
Elle a donc appelé à protéger l'environnement par des actions simples, depuis le dépôt des déchets solides dans des endroits appropriés jusqu'à la promotion de campagnes de nettoyage.
L'événement sur les femmes et l'action climatique s'est déroulé sous le thème « Femmes de la mer, gardiennes du milieu marin ».
A l'occasion, la présidente de l'AMMPACA, Maria Faustino, a évoqué la nécessité de préserver l'environnement.
L'AMMPACA compte 1600 membres répartis dans 15 coopératives, dans les provinces de Cabinda, Zaire, Benguela, Namibe, Bengo, Cuanza-Sul et Luanda. Elle a fêté ses 10 ans le 15 avril.
La rencontre d'une journée a abordé, entre autres sujets, la gestion de projets environnementaux dans le contexte de l'Angola, l'éducation environnementale marine pour les femmes, la participation des femmes à la réduction des plastiques dans les océans.