Le Dialogue national inclusif se poursuit. Les résolutions sont patiemment attendues par les populations gabonaises. Les communicants jouent leur partition.
Ils ne prennent pas le pouvoir, ils en donnent, fait savoir Freddy Koula Moussavou, qui lui, se trouve, comme bien d'autres, là où bat le coeur de ce Dialogue national inclusif au stade d'Angondjé, au Nord de la capitale gabonaise, Libreville.
Tout au long de ce dialogue, l'ensemble des communicants que nous sommes, autour du très important Dialogue National Inclusif - DNI, épousons la maxime de Frédéric Fougerat, qui estime que « La Communication n'est pas là pour prendre le pouvoir, mais pour en donner ».
Pouvoir d'entendre, de comprendre et décider... au nom du peuple gabonais (plus de 34 000 contributions, toutes prises en compte durant le dialogue.).