Dans le cadre de la promotion de l'emploi vert et du développement durable, la Confédération générale des entreprises de Côte d'Ivoire (Cgeci) et l'Institut mondial pour la croissance verte ou Global green growh institute (Gggi) ont signé le mercredi 24 avril 2024, à Abidjan-Plateau, un protocole d'entente.

Le document a été paraphé au nom du président Ahmed Cissé, par le directeur exécutif de la Cgeci, Stéphane Aka-Anghui et par Kyung Nam Shin, directeur général adjoint de Gggi pour les investissements et les solutions politiques.

En effet, Stéphane Aka-Anghui s'est dit heureux de la signature de ce partenariat avec cette organisation internationale qui regroupe plus de 50 pays et qui travaille sur les questions de climat, d'environnement, d'énergie verte.

« La Cgeci est dans ce domaine depuis plusieurs années avec une commission qui s'occupait des questions exclusivement d'énergie », dit-il. Pour lui, l'énergie est très importante pour les entreprises et pour la Côte d'Ivoire.

L'objectif, dit-il, est de faire en sorte que l'énergie soit la moins polluante possible. « Avec le plan stratégique, nous avons fait un virage pour avoir une commission qui s'occupe non seulement d'énergie mais également de climat et de financement vert », a expliqué l'émissaire d'Ahmed Cissé. Avant de rappeler que la Cgeci est en partenariat avec Gggi depuis deux ans. Il l'accompagne sur certains de ses événements.

A l'en croire, dans cette convention, il sera toujours question de participer aux événements des uns et des autres, notamment en proposant des experts dans les domaines qui seront débattus et d'avoir une plateforme de collaboration pour atteindre les objectifs que l'Etat de Côte d'Ivoire se fixe en matière de développement vert.

« Nous voulons compter sur Gggi pour nous aider à financer un certain nombre de projets verts que nos membres pourraient avoir », a indiqué Stéphane Aka-Anghui.

Le représentant de Gggi, Kyung Nam Shin, s'est également félicité de ce partenariat qui a commencé il y a de cela quelques années.

Pour lui, l'intérêt est de pouvoir appuyer les questions du secteur privé sur le changement climatique et accélérer l'accès au financement, notamment dans les secteurs clés comme la gestion des déchets, l'agriculture, l'énergie et même le transport électrique. « Nous sommes particulièrement ravis de lancer cette collaboration entre nos deux organisations », a souligné le directeur général de Gggi.