Le désengagement progressif de la Monusco amorcé avec la fermeture, fin avril 2024, de ses bureaux et bases dans le Sud-Kivu suscite diverses réactions dans l'opinion congolaise.
Certaines traduisent des inquiétudes face au vide laissé sur le plan sécuritaire.
D'autres, par contre, se réjouissent du départ de cette force qui n'a pas, de leur avis, réussi à pacifier le pays.
Pourquoi ce double langage autour du départ de la mission onusienne en République démocratique du Congo ?
Que peuvent en etre les conséquences ?
'C'est le ton qui fait la panique' recoit Oswald Rubasha. Coordonnateur de la clinique électorale congolaise,
membre de la société civile du Sud-Kivu
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