Hier, à Analakely, un événement significatif a marqué une avancée majeure dans la protection de la biodiversité malgache. BNI Madagascar - en partenariat avec SAMIFIN et TRAFIC - a solennellement annoncé ses engagements fermes dans la lutte contre la corruption et le trafic d'espèces sauvages.
En signant une lettre d'engagement publique, BNI Madagascar, le premier réseau bancaire du pays, a pris un nouveau tournant dans son implication pour la préservation de l'environnement. Cette initiative, menée dans le cadre du projet « Lutte contre la corruption et le trafic d'espèces sauvages », bénéficie du soutien de l'USAID et est supervisée par TRAFFIC et SAMIFIN.
En effet, la biodiversité exceptionnelle de Madagascar est reconnue mondialement, mais elle est également menacée par des pratiques illégales telles que la corruption et le trafic d'animaux sauvages. Ces activités, non seulement causent des dommages environnementaux considérables, mais mettent également en péril le développement socio-économique du pays et sa sécurité nationale.
Participation active
Consciente de ces enjeux, BNI Madagascar s'est engagée à prendre des mesures concrètes et ambitieuses. Ces mesures comprennent une politique de tolérance zéro envers le commerce illégal d'espèces sauvages, le renforcement des capacités de détection et de signalement des opérations suspectes, ainsi que la collaboration étroite avec les autorités compétentes.
De plus, BNI Madagascar s'engage à jouer un rôle actif dans la sensibilisation du public aux impacts négatifs du commerce illégal des espèces sauvages et à l'importance de la conservation de la biodiversité. Enfin, la banque s'engage à évaluer régulièrement l'efficacité de ses actions et à les ajuster en fonction des menaces et des meilleures pratiques internationales en matière de lutte contre le commerce illégal des espèces sauvages.