La célébration de l'Aïd El kebir 2024 a impulsé un retour aux sources chez bien de citoyens qui amorcent des mouvements de retour et de communion d'avec les leurs pendant deux ou trois jours. Cette ruée entraîne un intérêt croissant pour le savoir_ faire local vestimentaire.
Les tissus locaux se sont certes bien écoulé mais le poison de la contrefaçon pèse encore sur les efforts: "Après la ferveur festive, on se frotte vraiment les mains, lepp et bazins se sont écoulés sinon la seule tâche noire, c'est la présence de tissus venus d'ailleurs. Si le Général Mamadou Doumbouya nous aide à juguler l'intrusion de ces tissus étrangers nous nous sentions mieux..."
Autre actrice de la filière, Kadidiatou Diallo marche sur les pas de sa consœur : "Gloire à Dieu, le l'émoi s'est mieux écoulé car les gens comprennent désormais la différence entre l'authentique et le contrefait.
Nous avons réalisé de bonnes affaires."
Le plaidoyer chez toutes ces dames rencontré est le même, que chaque fils du pays se battre pour donner de la valeur à nos produits locaux.