Son premier contact avec la musique date de 2006 au Collège Sacré-Coeur Tsianaloky lors d'une soirée culturelle. L'envie s'intensifie à l'Université car à Ankatso, elle découvre diverses cultures comme celle des Sakalava, qui lui donnent envie d'approfondir sa musicalité.
En 2018, elle débarque à la Réunion avec son mari et ses deux enfants. C'est là que tout a commencé. Elle monte sur les planches du Festival Métis à Saint-Paul. Elle s'aligne avec des stars tels que Jeahy, Njiva, Noudou Guitare, Tsiry et Claudio Rabe.
Elle, c'est Céleste Razafy, une artiste qui a su trouver son style, la trad-fusion ! Violette Célestine Razafindrazanaka a été bercée par la musique depuis son enfance. Née d'une mère qui a grandi dans la chorale protestante, elle a tout de suite été imprégnée de la riche culture du Sud de Madagascar. Certes, ce genre musical est en vogue en ce moment, mais celui de Céleste est spécifique. Paroles riches en émotions, mélopées profondes, Céleste donne tout. De plus, son vocal atypique est son principal atout. Ce talent a également été constaté par les organisateurs évènementiels, ce qui lui a permis d'enchaîner des concerts, sur l'île de la Réunion. Cette femme à tout le temps pour acquérir des expériences.
Actuellement, l'artiste est soutenue par l'association interculturelle MAHAVITAZY présidée par Frédéric Allamelou allias Dragon rouge de Madagascar, Céleste prépare un opus intitulé « Mahavelo ».