Les conditions de l'«élection» d'Adrien Duval à la présidence de l'Assemblée nationale ne cessent d'alimenter les débats depuis jeudi, et dans le podcast de cette semaine également.
Il y a ce que dit la Constitution mais il y a aussi ce que disent les «standing orders». Et avant même déjà de savoir si c'est le «deputy speaker» ou la «clerk» qui aurait dû présider la séance, les règles du Parlement disent qu'en cours de législature, c'est un élu qui doit remplacer un speaker. Ce que n'est pas le fiston Duval.