Comme le dit si bien Ephésiens chapitre 5, verset 31 : "L'homme quittera son père et sa mère et s'attachera à sa femme et les deux deviendront une seule chair", hier, mercredi 24 juillet, Niclette Ngoie Muntumpe et Josias Kankote se sont présentés à la Maison Communale de la Gombe pour célébrer leur mariage devant l'officier de l'état-civil. Témoignant de ce grand amour envers son époux, elle a juré fidélité tout au long de son mariage. En tant qu'aînée de la famille Ngoyi, Niclette reste un exemple à suivre pour ses frères et soeurs.
Tout parent est heureux de voir son enfant franchir cette étape cruciale à l'instar de Niclette Ngoie qui, par son mariage, a promis obéissance à son époux en faisant honneur à ses parents. Marcel Ngoyi devient l'homme le plus heureux hissé au firmament de l'honneur pour avoir combattu le bon combat dans l'éducation de sa fille. Le mariage de sa fille est le couronnement de tous les sacrifices d'un parent qui recherche par son travail de tous les jours le bien-être de sa progéniture.
Licenciée en journalisme, Niclette Ngoie Muntumpe n'a pas caché sa joie de voir s'accomplir cette journée par l'engagement pris devant l'officier de l'état-civil.
Le mariage étant le fruit de nombreux efforts, il doit sa réussite à l'accompagnement des parents de deux familles qui n'ont pas lésiné sur les moyens pour un réel succès en cette journée mémorable. Ngoyi Marcel qui ne s'est pas dérobée de ses tâches quotidiennes de la direction de son groupe de presse La Prospérité, avait toujours le temps de s'occuper des préparatifs du mariage de sa fille. Il le fallait pour une aînée qui a tracé la voie à suivre pour le reste de ses frères.
Rappel
C'est le 10 mai dernier, dans la salle Adonaï Center, que Niclette Ngoie a franchi la première marche de l'escalier du mariage coutumier en présence de plusieurs invités dont les journalistes de La Prospérité. Ce mariage coutumier a posé les bases du mariage coutumier célébré hier mercredi avant le religieux qui intervient le samedi 27 juillet prochain.
Un dicton Songye dit "Musongye mukielenge", c'est-à-dire, un Musongye est un chef. C'est ce qui prouve à juste titre que Marcel Ngoyi n'est pas un homme de nature à faire des choses à demi-mesure. Qui commence bien ne fait rien s'il n'achève pas.
