Quelle va être la place du secteur privé sénégalais dans l'organisation des Jeux Olympiques de la jeunesse ?
« Notre place est de premier ordre. Nous sommes présents. Ce sont nous qui faisons la plupart des rénovations d'infrastructures. Ce sont nous qui construisons les hôtels. Ce sont nous qui construisons une certaine façon le village olympique parce que c'est là-bas qu'est l'université Amadou Makhtar Mbow.
Dans la réalisation des modes de transport, nous y avons participé même si ce n'est pas principalement le secteur privé. Les rénovations au niveau du secteur du tourisme, ce sont les acteurs du tourisme nationaux qui le font. Je disais aussi que notre part n'est pas seulement ce que nous faisons, ça doit aussi être ce que nous donnons.
Et ce que nous donnons, c'est la mobilisation des entreprises à ce qu'elles participent dans la promotion des jeux, dans son marketing, dans ce qu'elles contribuent en termes de responsabilité. Nous sommes les pourvoyeurs des 3FPT et avec le 3FPT, nous avons identifié plus de 200 ou 300 métiers : l'insertion des jeunes dans cela, le développement de l'entreprenariat aussi. Nous sommes des acteurs.
Pouvez-vous quantifier le nombre d'emplois que les JOJ pourraient générer ?
Non, c'est difficile. A l'état actuel, je n'ai pas ces données. C'est difficile. Maintenant, est-ce qu'on comptabilise les gens qui ont travaillé dans les infrastructures ? Les volontaires qui vont être là ? Donc, peut-être ça peut être évalué après tout ou quand on s'y rapproche un peu plus.