- Educatly, une startup edtech basée en Egypte, obtient un financement de 2,5 millions de dollars mené par TLcom Capital et Plus VC.
- Fondée en 2020, Educatly vise à démocratiser l'accès aux possibilités d'enseignement supérieur dans la région du Moyen-Orient et de l'Afrique.
- Ce dernier financement permettra de renforcer la présence d'Educatly sur des marchés clés tels que l'Égypte, l'Arabie saoudite, les Émirats arabes unis, le Nigeria, le Kenya et l'Irlande.
Educatly, une start-up égyptienne spécialisée dans les technologies de l'information, a obtenu un nouveau financement de 2,5 millions de dollars, mené par TLcom Capital et Plus VC. Egypt Venture (Égypte) et le syndicat HBAN (Irlande) ont également participé à ce tour de table.
Fondée en 2020, Educatly vise à démocratiser l'accès aux possibilités d'enseignement supérieur. En 2021, la startup a levé un tour de pré-amorçage d'un million de dollars auprès de Falak Startups, Enterprise Ireland et d'un groupe d'investisseurs providentiels.
Ce dernier financement renforcera la présence d'Educatly au Moyen-Orient et en Afrique, en ciblant des marchés clés tels que l'Égypte, l'Arabie saoudite, les Émirats arabes unis, le Nigéria, le Kenya et l'Irlande.
Points clés à retenir
Les investisseurs en capital-risque soutiennent de plus en plus les startups technologiques axées sur l'éducation en Afrique, afin de tirer parti d'un marché et d'une opportunité économique évidents tout en ayant un impact éducatif tangible dans cette région à croissance rapide. Ces dernières années ont été marquées par une augmentation de l'adoption de l'innovation dans le domaine des technologies de l'éducation en Afrique.
Les projections disponibles indiquent que le marché deviendra une industrie de plusieurs milliards de dollars, stimulée par la demande croissante de solutions d'apprentissage en ligne, de livres électroniques et d'applications éducatives. Toutefois, les acteurs de ce secteur doivent encore relever des défis importants, tels que l'accès au financement et la mise sur le marché, que les sociétés de capital-risque peuvent contribuer à résoudre.