Les menaces de piraterie se renouvellent du côté des côtes somaliennes. La hausse du trafic maritime le long du Cap de Bonne Espérance, née de la crise de la Mer Rouge, en est une cause.
Les enjeux relatifs à la sécurité maritime : résurgence des cas de piraterie en mer ou d'autres activités maritimes illicites telles que le trafic de drogue et d'êtres humains, ont été au cœur de la réunion ; la deuxième, plénière du Groupe de Contact International sur les Activités illicites en mer (CGIMA).
Événement durant lequel la République du Kénya a passé la présidence de la structure aux Seychelles après un mandat qui s'est étalé de 2020 au 4 septembre 2024. Il conviendrait de noter que c'est la deuxième fois que les Seychelles dirigent le Groupe de contact. La première présidence remonte à 2009.