La sortie du livre d'Alain Claude By Nze recommande de notre part, une lecture afin de mieux émettre des commentaires appréciatifs ou dépréciatifs. La probité intellectuelle le recommande. C'est celui qui a lu qui a droit à la parole, et c'est la règle dans une société éclairée (de la discussion jaillit la lumière).
Pour le dernier Premier ministre d'Ali Bongo, disons plutôt le dernier épisode du feuilleton de la saison Bongo-PDG, et qui s'est vu tordre le cou par le coup d'Oligui Nguema dans son rêve de pouvoiriste, le camp politique et autres "fan club" du Général Président de la Transition Oligui Nguema et au-delà le CTRI, sont invités à acheter le livre et à le lire pour répondre à celui que je qualifie de Rastignac, le sophiste mégaphone de la cacophonie.
Si les associations qui adoubent Oligui Nguema ne lisent pas le livre pour répondre à Bilie By Nze,qu'ils se taisent au lieu de nous servir ce qui s'apparente à une galère made in Gabon audible et visible dans les réseaux sociaux.
Si tout acte d'écriture est à saluer, il est à relever que tous les livres ne sont pas bon à lire et ne sont pas rangés au même rayon, surtout lorsque les mains de celui qui a écrit sont entachées par l'encre d'actes agités et dangereux pour notre vivre ensemble. Plus grave, lorsque sa parole devient un poison contre ses semblables.
A l'intérieur du pays où je me trouve dans mes reportages de proximité pour réparer CASH ce déficit de citoyenneté dont il est l'un des architectes par son zèle politique fou, j'ai suivi son interview où il affirme, sans sourciller sur le plateau TV5, qu'il a été éduqué à "respecter les valeurs gabonaises", "à respecter la vie ","à s'engager...pour les autres". Ah bon !?
Une simple réécoute de ses multiples déclarations perlées de philippiques sur le pupitre de la République, et qui avait fini par banaliser le porte-parolat en une sorte de basse-cour du coq de Rostand, nous permet de mesurer l'épaisseur psychologique de la moralité de celui qui parle.
A écouter Bilie By Nze pendant la présentation de son livre sur TV5, et en attendant la lecture de celui-ci, gageons que ce "Oser l'espérance pour un nouveau Gabon "ne soit pas une sorte de chèque sans provision de mots à nos maux par lui rebuté, contenu dans un livre pour duper une fois de plus et de trop les Gabonais(e)s. Les jeunes gabonais(es) lucides, animé(es) de discernement joueront le rôle de vigie Cash J'ai écrit.