Mali : Situation politique- Des tirs et des détonations entendus à Bamako
Plusieurs sources ont fait état de tirs dans la capitale malienne, qui auraient débuté vers 5 heures, heure locale. Des tirs et des détonations résonnent depuis ce 17 septembre au matin dans la capitale malienne Bamako, a rapporté un correspondant de l’Afp. « Des hommes armés non encore formellement identifiés ont attaqué ce matin au moins un camp de gendarmerie de Bamako », a dit un responsable de gendarmerie sous le couvert de l’anonymat. (Source : Jeune afrique)
Côte d’Ivoire : Rentrée scolaire 2024-2025- Beugré Mambé lance officiellement la distribution de kits scolaires
Le Premier Ministre, Robert Beugré Mambé, a procédé, ce lundi 16 septembre 2024, au lancement officiel de cette distribution au Groupe scolaire Agouéto municipalité d’Anonkoi-Kouté dans la commune d’Abidjan-Abobo.La direction régionale de l'Education nationale et de l'Alphabétisation d'Abidjan 4 à laquelle appartient le Groupe scolaire, recevra 99 431 kits scolaires pour un coût de 206 437 342 Fcfa.Cette opération s'inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du Programme social du gouvernement (PSGouv).« La mise à disposition des manuels scolaires gratuitement aux enfants est une mesure déterminante dans la stratégie de la scolarisation universelle. Cette pratique exprime clairement la volonté du gouvernement de renforcer la démocratisation de l'accès à l'éducation de base et à la réduction des inégalités », a déclaré Robert Beugré Mambé.
Sénégal : Dissolution de l’Assemblée - Diomaye face à une levée de boucliers
L’ancien Pm Amadou Ba, à travers un communiqué du comité de pilotage de son parti, la «Nouvelle Responsabilité», s’est exprimé sur la dissolution de l’Assemblée nationale par le Président Bassirou Diomaye Faye. Dans le document, cette formation politique a déploré la manière dont cette institution a été dissoute. (Source : adakar.com)
Niger: Justice et lois- plusieurs personnalités appellent à la libération de Mohamed Bazoum
Une trentaine de personnalités, dont les prix Nobel Denis Mukwege et Wole Sonyinka, ont appelé à la libération de l’ex-président du Niger Mohamed Bazoum, séquestré depuis le coup d’Etat contre lui en juillet 2023, dans une tribune publiée dimanche dans le quotidien français Le Monde.Les auteurs de cet appel estiment que Mohamed Bazoum et sa femme Hadiza, retenue avec lui, sont « les victimes d’une détention arbitraire » qui entraîne « des conséquences particulièrement douloureuses pour leur famille et, bien sûr, pour les Nigériens ».Depuis le putsch de juillet 2023 qui a vu le général Abdourahamane Tiani, ancien commandant de la garde présidentielle et proche de Bazoum, s’emparer du pouvoir, le couple présidentiel est gardé « sous la surveillance stricte d’hommes en armes », « sans communication avec l’extérieur", dans des conditions de détention "très sévères", jugent les auteurs de la tribune, qui compte parmi les signataires l’écrivain camerounais Achille Mbembe et l’ancien directeur de Human Rights Watch, Kenneth Roth.( Source : Afp)
Guinée : Campagne pour la candidature du Général Doumbouya – Les choses coincent en Guinée forestière
Il n’est pas encore candidat officiellement, mais ça bouge déjà sur le terrain. Ainsi, le passage d’un groupe de cadres dans des préfectures de la Guinée forestière pour annoncer une éventuelle candidature du Général Mamadi Doumbouya aux prochaines élections continue de susciter des réactions politiques dans le pays. Cette délégation qui fait le tour du sud de la Guinée, un des plus importants bassins électoraux du pays, a rencontré les notables de la région pour demander, dit-on, un soutien en faveur de la candidature du président du comité national du rassemblement pour le développement, (Cnrd). Certains leaders politiques originaires de la région, opposés à cette campagne, n’ont pas attendu longtemps pour mener leur controffensive. ( Source :africaguinee.com)
Gabon : Union africaine- Le pays poursuit son plaidoyer pour sa réintégration au sein de l’organisation
Le président de la transition gabonaise a reçu, le 14 septembre dernier à Libreville, le président de la Commission de l’Union africaine (UA), le Tchadien Moussa Faki Mahamat. Les discussions ont notamment porté sur le retour du Gabon au sein de l’institution africaine, après sa suspension le 31 août 2023, soit au lendemain du coup d’État militaire qui a renversé l’ex-président Ali Bongo. Le Gabon semble être sur la bonne voie pour réintégrer l’institution, car les réformes engagées depuis le 30 août 2023 par les autorités de la transition, et dont le bilan a été fait au cours de cette visite, semblent avoir progressé.« Je suis venu aujourd’hui exprimer le soutien de l’Union africaine aux autorités de la transition et m’enquérir des développements. Je constate que la Constitution est déjà sur la table du Parlement et que, dans les semaines à venir, un référendum sera organisé pour son adoption. Ce sont des pas importants, allant dans le sens du retour à l’ordre constitutionnel. À l’Union africaine, nous attendons avec impatience le retour du Gabon au sein de la famille africaine », a déclaré le président de la Commission de l’Union africaine. (Source : alibreville.com)
Egypte : Football - Le CHAN 2024 aura lieu en février 2025, annonce la CAF
Deux ans avant la Coupe d’Afrique de nations (CAN) qu’ils co-organisent en 2027, le Kenya, la Tanzanie et l’Ouganda vont avoir l’occasion de s’offrir une belle répétition. Comme pressenti depuis de longs mois, l’organisation du Championnat d’Afrique des nations (CHAN) vient de leur être attribuée ou confirmée ce lundi 16 septembre. C’est le président de la Confédération africaine de football lui-même qui l’annoncé au sortir d’un comité exécutif de la CAF qui s’est tenu le jour même à Nairobi, capitale du Kenya.« Les éliminatoires auront lieu entre octobre et décembre », a annoncé le Camerounais Seidou Mbombo Njoya, quatrième vice-président de la CAF. Les premières qualifications démarreront entre le 21 et le 27 octobre. (Source : Rfi)
Rca : Ndélé - L’insécurité entraîne la hausse du prix de la viande bovine
À Ndélé, dans le Bamingui-Bangoran, la flambée du prix de la viande de bœuf, autrefois accessible à la plupart des ménages, est devenue une source majeure de préoccupation. Le coût du kilogramme est passé de 1 000 francs à 1 500 francs CFA. Une augmentation que les habitants attribuent directement à l’insécurité grandissante dans la région. Parmi les victimes de cette inflation soudaine, Oumarou Ibrahim, père de onze enfants, résidant au quartier Adramane. Il exprime son désarroi face à cette situation. « Nous avions l’habitude d’acheter deux kilos de viande pour nourrir la famille, mais avec l’augmentation des prix, il nous faut désormais dépenser entre 3 000 et 4 000 francs CFA. C’est une charge supplémentaire pour nous qui vivons déjà dans des conditions difficiles », confie-t-il, évoquant ainsi le fardeau financier qui pèse sur de nombreuses familles de la région. (Source : abangui.com)