La reprise des cours au titre de l'année scolaire 2024-2025 aura lieu le mardi 1er octobre sur toute l'étendue du territoire national, ont souligné le ministre de l'Enseignement préscolaire, primaire, secondaire et de l'Alphabétisation, Jean Luc Mouthou, et son collègue de l'Enseignement technique, Ghislain Thierry Maguessa Ebome, lors d'un déjeuner de presse organisé le 30 septembre à Kintélé.
Le calendrier scolaire au titre de l'année 2024-2025 n'a pas connu des modifications. « Toutes les dispositions sont prises pour la rentrée des classes prévue pour le mardi 1er octobre sur toute l'étendue du territoire national », a indiqué le ministre de l'Enseignement préscolaire, primaire, secondaire et de l'Alphabétisation, Jean Luc Mouthou. Une manière pour lui de rassurer une certaine opinion qui affichait des incertitudes quant à l'effectivité de la rentrée scolaire à la date du 1er octobre.
Le ministre est, par ailleurs, revenu sur la note de service publiée le 26 août dernier sur le déroulement de la rentrée scolaire. Le jeudi 19 septembre, la rentrée administrative a eu lieu. La rentrée pédagogique, quant à elle, s'est tenue le mercredi 25 septembre.
Conformément à ce calendrier, il n'y a pas de raison que la reprise des cours n'ait pas lieu à la date prévue, a-t-il souligné en précisant: « La fin de l'année scolaire annonce la prochaine année qui débute toujours au mois d'octobre. Cela ne devrait surprendre ni les animateurs du système éducatif ni les parents ». Pour le gouvernement, la rentrée des classes ne devrait donc pas faire l'objet d'interrogations.
D'autres écoles
Au cours de l'année scolaire qui débute ce 1er octobre, plusieurs établissements scolaires réhabilités et construits seront inaugurés, à en croire le ministre de l'Enseignement préscolaire, primaire, secondaire et de l'Alphabétisation. Il s'agit, entre autres, du lycée de Mayoko, dans le département du Niari ; du lycée de Tchikapika dans la Cuvette ; celui d'Inkouélé dans les Plateaux. « L'enjeu consiste à rapprocher l'école des apprenants pour que les enfants n'aient pas à parcourir de longues distances pour étudier, mais aussi à résoudre progressivement le problème des pléthores », selon Jean Luc Mouthou.