Ce vendredi 27 septembre, Madame la Première Dame, Zita Oligui Nguema, a effectué une visite notable au centre de cancérologie de l'université du Maryland de Washington. Accueillie par l'équipe d'experts de l'établissement, elle a eu l'honneur de découvrir les avancées récentes dans la lutte contre le cancer, un domaine crucial qui touche des millions de vies à travers le monde.
Le centre de cancérologie de l'université du Maryland se distingue par son approche holistique, offrant des soins complets qui prennent en compte les besoins médicaux et émotionnels uniques de chaque patient. Dans un environnement conçu pour le confort et l'intimité, les patients bénéficient d'un accès à des traitements de pointe et à un soutien psychologique essentiel, qui illustre la volonté de traiter non seulement la maladie, mais également les souffrances associées.
Madame Oligui Nguema a manifesté un vif intérêt pour ces pratiques exemplaires, désireuse de s'imprégner des méthodes utilisées dans les grandes structures des pays développés. Son objectif est clair : transposer le modèle américain au Gabon, notamment en ce qui concerne la prise en charge de la drépanocytose, une maladie héréditaire affectant les cellules sanguines, ainsi que des différents types de cancers.
Dans cette optique, la Première Dame souhaite la création d'une extension au CHU Mère et Enfant Fondation Jeanne Ebori, qui sera dédiée au traitement des maladies affectant les cellules sanguines, avec un accent particulier sur la drépanocytose. Son ambition est de garantir que chaque Gabonais ait accès à des soins de santé complets et de haute qualité, renforçant ainsi le système de santé national.
Ce déplacement au centre de cancérologie de l'université du Maryland à Washington, démontre l'engagement de Madame Zita Oligui Nguema à promouvoir une santé accessible et de qualité pour tous.
En intégrant les meilleures pratiques observées lors de sa visite, elle espère transformer le paysage médical au Gabon et offrir un espoir tangible aux patients touchés par des pathologies graves.