L'ampleur des défis, notamment en termes de fatigue des agents électoraux et de manque de personnel, a été jugée trop grande pour permettre un changement immédiat vers un dépouillement le jour même lors des élections législatives.
C'est ce qui ressort du rapport de la Commission électoral rendu public ce mardi 1er octobre.
Les discussions ont révélé un manque de consensus parmi les parties prenantes, en raison de préoccupations logistiques, de fatigue des agents et de sécurité. Le dépouillement continuera donc de se faire le lendemain du scrutin, avec des ajustements possibles pour améliorer la sécurité et la transparence, notamment concernant le transport des urnes et la surveillance des centres de dépouillement.