TLDR
- Peach Payments s'associe à Sukhiba pour l'expansion des canaux de vente WhatsApp en Afrique du Sud et au Kenya.
- L'intégration permet aux entreprises d'utiliser WhatsApp pour les transactions, les paiements et la planification des livraisons.
- Peach Payments a obtenu un financement de série A de 31 millions de dollars, tandis que Sukhiba a levé 1,55 million de dollars dans le cadre d'un tour de table d'amorçage.
Le fournisseur sud-africain de paiements numériques Peach Payments s'est associé à la plateforme kenyane de commerce conversationnel et de gestion de la relation client Sukhiba pour offrir aux commerçants sud-africains un nouveau canal de vente via WhatsApp.
Peach Payments est une passerelle de paiement en ligne en Afrique du Sud et s'est étendue au Kenya et à l'île Maurice. Sukhiba permet aux commerçants d'ajouter des catalogues de produits à WhatsApp, facilitant ainsi les transactions et les paiements.
Cette intégration permet aux entreprises d'utiliser WhatsApp pour l'achat de produits, les paiements et la planification des livraisons, élargissant ainsi les fonctionnalités de la plateforme Peach Payments. L'année dernière, Peach a obtenu un financement de série A de 31 millions de dollars auprès d'Apis Partners, tandis que Sukhiba a obtenu 1,55 million de dollars lors d'un tour de table d'amorçage en août.
Points clés à retenir
Le Kenya, avec 97 % de ses internautes utilisant WhatsApp en 2021, est le premier pays africain en termes d'adoption de la plateforme. Une enquête menée au troisième trimestre 2022 a révélé que les internautes âgés de 16 à 64 ans préféraient WhatsApp à d'autres plateformes de médias sociaux. L'adoption généralisée de WhatsApp a facilité la communication au sein des communautés, y compris entre acheteurs et vendeurs. Plus de 30 entreprises ont déjà adopté sa solution au Kenya, comprenant principalement de grands distributeurs et fabricants qui servent près de 15 000 micro, petites et moyennes entreprises (MPME), y compris des détaillants. Ces données soulignent la croissance rapide du paysage du commerce social en Afrique, qui a le potentiel d'atteindre 28 milliards de dollars.