Dans une intervention remarquée, Constancia Mangue Obiang, Première Dame de Guinée équatoriale, a fermement condamné le scandale impliquant Baltasar Ebang Engonga, prenant position pour défendre la dignité des femmes équato-guinéennes victimes de cette affaire qui secoue le pays.
L'affaire, qui a éclaté suite à la diffusion de vidéos intimes impliquant ce haut fonctionnaire et plusieurs femmes, dont certaines épouses de personnalités influentes du pays, a provoqué une onde de choc dans la société équato-guinéenne. "Cette affaire porte atteinte à la dignité de la femme équato-guinéenne," a déclaré la Première Dame dans une intervention qui marque un tournant dans la gestion de cette crise.
Face à ce scandale sans précédent, le gouvernement a rapidement réagi en destituant Baltasar Ebang Engonga de ses fonctions et en prenant des mesures d'urgence pour limiter la propagation des contenus compromettants. Cependant, pour l'épouse du président Teodoro Obiang Nguema Mbasogo, ces actions ne représentent qu'une première étape.
La Première Dame a particulièrement insisté sur plusieurs points cruciaux :
- La nécessité de protéger la vie privée des femmes à l'ère numérique
- L'importance de mettre en place des politiques durables contre les violences faites aux femmes
- L'urgence de renforcer les mesures pour l'égalité des sexes
- La protection de la dignité des femmes équato-guinéennes
Cette prise de position forte s'inscrit dans la continuité de l'engagement de Constancia Mangue Obiang pour l'égalité des genres. Elle refuse que ce scandale puisse compromettre les avancées déjà réalisées dans ce domaine et appelle à une mobilisation générale pour préserver la dignité des femmes du pays.
Cette affaire met en lumière les défis contemporains liés à la protection de la vie privée à l'ère numérique et la nécessité de renforcer les cadres légaux pour prévenir de tels abus. La réaction des plus hautes instances du pays témoigne de la gravité de la situation et de la volonté d'y apporter des réponses concrètes.